Si faire l’amour avec un(e) partenaire reste une des activités préférées de la population mondiale pour le plaisir si unique que cela procure, il faut savoir que cela n’est pas toujours sans dangers. En effet, on a beau tamiser sa chambre d’une douce lumière, agrémenter l’espace sonore d’une envoûtante et langoureuse mélodie, et se couvrir mutuellement de délicieuses caresses et d’affectueux baisers, il arrive que lorsque l’on passe à l’acte sexuel en lui-même, nous ayons un accident.
Bien sûr le plus courant des accidents sexuels depuis la nuit des temps est la panne qui survient chez l’homme, et qui fait que son pénis ne pourra se lever en érection pour pénétrer le vagin de Madame. Triste et amère situation, qui si elle porte un coup dur au mental de ce dernier en agressant son amour-propre, n’est en aucun cas un cas de danger pour l’un des 2 partenaires.
Cependant, il existe d’autres accidents sexuels qui peuvent survenir durant un rapport, et certains d’entre eux, outre empêcher les 2 amants d’obtenir la jouissance commune finale, peut les conduire direct à l’hôpital ! Ainsi, faire l’amour peut comporter certains risques, et quelques couples ont dus faire face à un événement traumatisant survenu lors de l’une de leurs relations sexuelles.
En voici quelques exemples les plus fréquents, bien qu’il faille préciser qu’il est tout de même rare que ces faits se produisent.
Les accidents les plus fréquents lors de l’acte sexuel
Ici, nous allons regrouper divers petits accidents sexuels qui peuvent venir gâcher une partie de jambes en l’air, mais qui restent sans danger pour la santé des 2 partenaires.
Les accidents sexuels les plus courants
Tout d’abord, après les troubles de l’érection cités plus haut, qui peuvent être causés par différents facteurs suivant les cas, on trouve l’accident bête qu’est l’éjaculation précoce masculine. Due à une excitation sexuelle trop intense, elle amène certains hommes à jouir en quelques secondes à peine après avoir pénétré leur partenaire, ce qui a le don d’exaspérer, surtout quand ce problème est récurrent.
Vient ensuite le fait de se tromper d’orifice lors d’une pénétration, qui est là encore un accident tout bête, mais qui peut causer un certain malaise, surtout si la partenaire concernée n’est pas franchement consentante à se faire prendre par la voie annale.
Enfin, en 3ème position des accidents sans graves conséquences, on trouve le fait de se coincer un objet dans son anus ou son vagin. Un préservatif peut par exemple se coincer à l’intérieur du vagin, si l’homme vient à débander avant de se retirer, tout comme les sex-toys qui peuvent être difficiles à retirer des orifices s’ils n’ont pas été assez lubrifiés.
Se rompre le frein
Les adolescents victimes de problèmes sexuels post-traumatiques ont souvent eu à faire à une rupture de frein sur leur pénis lors d’un rapport sexuel. C’est en fait la rupture de la fine peau qui permet de relier le prépuce à la verge, qui arrive à des adolescents lors de leurs premières expériences sexuelles.
Si cela peut saigner abondamment, il n’y a pas à s’inquiéter plus que ça dans la plupart des cas. Mais si ces saignements sont accompagnés d’intenses douleurs, alors on prévient ses parents et on file le plus vite possible à l’hôpital pour vérifier que les organes génitaux sont intacts !
Se fracturer le pénis
On arrive ici à des cas plus graves qui nécessitent des interventions chirurgicales. Pour ce qui est de la fracture de la verge, c’est un cas assez rare mais qui survient de temps en temps, surtout lorsque l’on pratique la position de levrette et que le pénis s’échappe de l’orifice pour aller se cogner contre les fesses du ou de la partenaire.
Alors, même s’il n’y a pas d’os au sein d’un pénis puisqu’il n’est gorgé que de sang lorsqu’il est en érection, se fait entendre un craquement, avant que le pénis ne débande et ne prenne une drôle de forme, et que les testicules ne viennent à gonfler subitement. Autant dire que la douleur ressentie est accrue, et qu’il faut donc se rendre aux urgences au plus tôt.
Subir une déchirure vaginale
C’est un problème assez rare, mais que peuvent subir certaines femmes au moment de la pénétration ou du frottement d’un sex-toy ou d’un pénis de trop gros volume. Le seul moyen de l’éviter quand on a le sentiment que ce qui va venir nous pénétrer est trop gros, sera de lubrifier au maximum le vagin, afin que ses parois ne puissent se déchirer. Lubrifier avec l’aide d’un gel composé à base d’eau, ou avec de la salive lors de caresses buccales pratiquées par le ou la partenaire.
Subir une fissure annale
Tout comme pour la fissure vaginale, la fissure annale intervient quand l’anus n’est pas assez lubrifié pour recevoir l’objet ou le pénis qui le pénètre. L’anus, qui pourtant est des plus élastiques qui soit, voit donc sa paroi se fissurer et saigner. C’est encore une fois un cas assez rare, mais qui survient lors de pénétrations trop violentes ou que la personne n’est pas consentante. En fait, un rapport anal demande beaucoup de stimulation sexuelle pour qu’il se passe au mieux, et une détente maximale si l’on ne souhaite pas vivre un évènement traumatisant pouvant mener à un état de stress ou une dépression.
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