vih faux positif????

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 22)
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  • #35118
    moimême
    Participant

    bonjour tout le monde

    hier , je suis allez cherché mes resultat de test vih.
    technique n°1 NEGATIF 0.02 (positif si superieur a 1)

    technique n°2 POSITIF 1.18 (positif a partir de 1.1 )

    RESULTAT DISCORDANT correspondant le plus souvent a une reaction faussement positive. a controler dans 15 jours pour confirmer l absence de evolution serologique.
    ce n est qu en cas de symptomes evoquant une infection recente ou a risque elevé qu il est conseillé de controler la serologie plus rapidement.

    maintenant j ai peur….malgré qu au chu il mon dit qu il y avait de grandes chances que se soit un faux positif comme expliqué ci dessus.

    des demain je vais voir mon medecin pour pouvoir refaire un test dans un vrai laboratoire.

    est ce que ce n est pas trop tot??
    est ce que quelqu un a deja vecu le meme cas???
    aidé moi svp………………..

    #86511
    moimême
    Participant

    sa y est mes resultat sont arrivé et je n ai rien les 2 techniques de controle se sont avéré negatives OUFFFFFFFFFFFFFFF.

    J AI VECU 10 JOURS TERRIBLE ET MAINTENANT UNE NOUVEL VIE COMMENCE….

    j esper que ce temoignages pourra rassuré quelqhe personne

    #88876
    soucis
    Participant

    mon fils , on lui a dit des choses comme ca puis je ne sais pas ou ca en est , j’y comprend pas trop , je pense que c’est un peu destabilisant pour nous qui sommes des profane , on ne nous donne pas de reponse vraiment sure de suite , bon courage quand meme , il faut voir les choses avec recul serenite en attendant d’en savoir plus.

    #88901
    celina
    Participant

    je n’arrive pas à comprendre pourquoi vous stressez un max devant les résultats alors que le jour ou vous un rapport sexuel vous ne vous posez pas la question et vous ne vous protégez pas, c’est assez paradoxal!
    je ne vous fais pas de reproche mais j’aimerais comprendre!

    #89458
    anonymous
    Participant

    je trouve ça super méchant de ta part meme si tu te pose des questions et que tu narive pa a comprendre il ya dautre façon 2 les dire et en plus tu sai pa coment que les gens auront pu shopper le sida ou lon malheureusement.tu sai jai failli etre atteinte par le virus(dieu merci ce né pa le k) jai eu 1 relation protegé avec 1 personne que je cotoyé 2pui 3 moi tou en ignorant sa maladie(avec 1 taux tré elevé) et 1 jour le preservatif a craqué 2suite apré il ma enmené ds 1 hopital pour prendre les 1er medicaments de la jai vecu lenfer pdt 2mois en attente je lai, je lai pas que vai je devenir? je ne supporter pa les médocs je pleurai nuit et jour et pourtan on pe pa dire que je lai vraiment chercher je me protegé.aprés tu va peut etre dire que jauré du 2 demandé a mon partenaire 2 faire 1 prise 2 sang avant toute relation desolé je nétai pa ariver a 1 stade ou ds ma tete cé vigilance extreme vu que ds les infos par rapport au sida la plupart du temps cé proteger vou et non pa depister vou avant tte relation.et noubli pa les victimes 2 viol hommes femmes enfants et la liste é longue.
    PATIENTEZ ET DITES VOUS KE CE SERA QUNE EPREUVE A PASSER sur ce garder la peche big bises.

    #90068
    anonymous
    Participant

    Faux Positif : mon témoignage

    Et un jour, autrement …

    Nous sommes à Lyon, le 09 février 2005, je suis assis dans un fauteuil assez confortable en face de mon médecin traitant, le docteur Garnier. Cet entretien n’était pas prévu avant la fin de la semaine. A ce moment-là j’étais, depuis deux jours, dans l’attente de mes résultats de séropositivité. Le docteur Garnier me regarde, les yeux attendris par l’annonce qu’il doit me faire : “Mr Berthelet, vos tests sérologiques à VIH sont positifs. Il faut que vous vous rendiez au plus vite à l’hôpital de la Croix-Rousse, au service des maladies infectieuses et tropicales, afin de rencontrer le professeur Chidiac qui se chargera de vous expliquer, le plus clairement possible, la situation dans laquelle vous vous trouvez.”

    “Quoi ! J’ai le sida !?” Sans remettre une seule seconde en question la validité de cette affirmation qui venait de résonner dans la partition de ma conscience, je prends mon téléphone portable afin de joindre la femme qui est aujourd’hui mon épouse. Elle est alors en Tunisie pour des raisons professionnelles. Je m’empresse de lui annoncer cette nouvelle, qui bouleverse aujourd’hui encore le cours de notre existence. J’organise son retour sanitaire afin d’entamer au plus vite le protocole d’analyses médicales. Je prends la route pour l’aéroport de Roissy Charles de Gaule, où j’arrive tel un zombie à une heure du matin. Nous rentrons sur Lyon immédiatement, perdus dans l’angoisse morbide qu’elle ait été, elle aussi, contaminée… par moi. Perdus mais heureux, ensemble. Le lendemain, après des heures d’une attente insoutenable, le verdict tombe : Hélène est séronégative. Je ne serai pas son meurtrier.

    La suite des événements peut se résumer de la sorte : séjours au sein de services hospitaliers glauques aux couleurs ternes, visages de patients effondrés, mutilés, corps déformés, silence lancinant… de nombreuses analyses sanguines… et leurs résultats : POSITIF à DEUX tests ELISA, POSITIF à deux tests WESTERN BLOT, PCR démontrant un taux de Lymphocytes TCD4 alarmant (256), une charge virale de 116 000 copies et une candidose oropharyngée dont l’ensemble des services hospitaliers s’efforce de nier l’existence. Pour le corps médical lyonnais, la candidose reste une maladie opportuniste et non la cause de positivité de ces tests.

    A entendre le professeur Chidiac, je suis en fin de vie, mon état de santé est préoccupant, et je dois au plus vite prendre du Trizivir ! D’un côté, il me conseille fermement de ne pas lire les contre-indications fournies par les fabriquants de ce produit, ni la liste de ses effets indésirables, de ne porter aucune attention à la littérature farfelue en circulation sur internet et surtout, de ne pas écouter les vendeurs de miracles !
    De l’autre, il m’invite à signer un document dans lequel je l’autorise à transmettre mon dossier médical à des tiers non identifiés !… après le grotesque, là, cela devient louche…
    Il insiste et conclut sur le fait que je suis “malade du sida”. Ne pas suivre ses recommandations, c’est signer mon arrêt de mort dans les six mois.

    Hélène et moi sortons du cabinet abasourdis par ce discours, seuls devant cette annonce d’une proximité de la mort que nous n’avions pas prévue, ni même envisagée. Deux jeunes êtres épris l’un de l’autre, effondrés dans ce couloir de la mort menant aux portes du spécialiste lyonnais des maladies infectieuses ! Un gouffre pour la psyché ! et un effondrement…

    Courage ! Elle est là !
    Et elle le sera toujours, avec ses caresses, ses encouragements, son écoute, son sourire ; elle m’aime, je l’aime. Qu’importe ce qui peut arriver, nous sommes heureux. L’annonce de mon état aux différents proches nous confirme l’importance des belles rencontres de la vie.

    Agir ! S’informer ! Apprendre ! Analyser !
    Ce qui n’aurait dû être qu’un long et banal parcours thérapeutique se transforme très vite en une enquête terriblement passionante.
    C’est Hélène qui fait la preuve du plus grand courage et de la plus simple détermination dans l’accompagnement de cette épreuve. Elle me nourrit en tout, moi, le porteur de mort, le porteur de ce virus fatal qui nous empêchera probablement de construire une famille… C’est une nouvelle expérience qui s’étiole jusqu’à cette belle soirée de printemps, où Hélène me tend un ouvrage co-écrit par Jean-Claude Roussez et Etienne de Harven, éminent anatomopathologiste et spécialiste de la microscopie électronique, qui annonce, à qui veut bien l’entendre, que le lien de causalité entre le VIH et le sida est fortement remis en question par un groupe toujours grandissant de scientifiques internationaux.

    Cette lecture d’espoir me transporte jusqu’au petit matin. Je me connecte alors sur internet, dans l’intention de vérifier par moi-même le contenu des documents cités en référence dans cet ouvrage. Ce que j’y découvre est édifiant ! Les plus grands experts du monde scientifique moderne alertent la population depuis plus de 20 ans sur la non-validité des tests de séropositivité, sur leur “non-spécificité” et sur le rôle mineur tenu par le VIH dans le syndrome d’immunodéficience acquis.

    Après de nombreuses heures de recherche, temps libre généreusement offert par mes employeurs,
    je prends finalement la décision de mettre un terme à cette image de ma mort inéluctablement associée au sida. La rencontre avec le professeur Etienne de Harven est hautement instructive. Parmi tant d’autres informations, Etienne de Harven nous annonce que le créateur de la technique utilisée pour le décompte de ces fameux CD 4, le professeur Kary Mullis, Prix Nobel de chimie en 1993 pour la mise en place de la technique de PCR, déclare lui-même depuis 1996 que sa technique ne permet en rien de définir un diagnostic à VIH 1, VIH 2 et HVC !… Toute l’Histoire du sida serait fausse… Le sida ne serait ni contagieux, ni sexuellement transmissible… Et le VIH ne serait certainement pas à son origine…

    Nos convictions profondes, à Hélène et moi, s’avèrent exactes ! Je ne suis pas malade du sida et je n’héberge aucun vilain virus s’attaquant à mon système immunitaire. J’ai une candidose oropharyngée, et c’est bien suffisant ! Je suis un nouveau “faux positif” de plus sur la liste…
    J’ai juste la désagréable particularité de vouloir lutter contre l’ignorance du personnel des services de santé publique, qui veut que je sois “malade du sida”, et en aucun cas “en phase de développement d’un candida”. Je suis contraint et forcé, pour la bonne gestion de ma santé, dans le seul but d’obtenir la liberté de choix de traitement thérapeutique, de faire appel au Droit Constitutionnel, Art.3 de la Déclaration de Droits de l’Homme du 10 décembre 1948 :
    “Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ”.

    J’ai bel et bien été à deux doigts de faire les frais d’une erreur d’interprétation médicale de la part des services de santé de Lyon. Ce type d’erreur dans la lecture des tests ELISA, WESTERN BLOTT et PCR continue aujourd’hui encore de se répéter et entraîne un cortège de souffrances chez des hommes, des femmes et des enfants traités chimiquement pour des maux dont la cause prétendue et non avérée se nomme sida.

    J’ai réussi à me sortir indemne de cette histoire, sans subir de traitements inapropriés, j’ai soigné ma candidose et je suis dans une forme rayonnante, aux côtés de ma femme, avec qui je consacre aujourd’hui une bonne partie de mon temps à informer la population de ce qui est et restera une bourde médicale morbide passée sous silence !

    Un survivant.


    Copyright original : Bruno Berthelet
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    59 Temple Place, Suite 330, Boston, MA 02111-1307 USA

    Chacun est libre de copier et de distribuer des copies conformes de ce document, mais nul n’est autorisé à le modifier.

    #90162
    anonymous
    Participant

    Bonjour,

    Je ne sais pas quelle maladie vous avez mais n’écrivez pas que le sida n’existe pas. Je ne sais pas dans quelle secte vous avez trouvez ce genre d’information mais plusieurs amis qui sont mort de cette maladie dans les années 1985 à 1995 et je suis moi-même attends depuis 1992, les tests de controle que j’ai pu subir tous les 3 mois depuis ces 14 dernières années sont à la fois des tests sur les cd-4/CD-8 mais bien évidemment sur la charge virale présente dans le sang, c’est à dire le nombre de virus présent.
    Rien à voir avec l’incertitude des test de serologies. Lorsque vous allez pour la premiere fois au service de maladies infectieuses de votre hôpital, on vous fait passer les tests nécessaires à la validation de la sero-positivité, c’est à dire un deuxième test de sérologie puis si il est à nouveau positif, la recherche de la charge virale et les taux de cd4 et cd8 pour connaître la réponse de votre organisme à la contamination VIH.
    Ensuite, en focntion de votre état de santé général, de la charge virale et des taux de CD4 et CD8, un traitement adapté à chacun pourra être envisagé mais ce n’est pas obilgatoire. On vit très bien avec des cd4 à 240 si la charge virale reste indetectable et n’augmente pas dans le temps. Un tratitement est nécessaire uniquement si la charge virale augmente ce qui signifie que le corps n’arrive pas seul à contenir l’infection.
    Les premiers traitements sont souvent léger (2 à 3 molecules soit 1 à 2 cachets par jour en 1 prise) et il n’y a souvent que peu d’effets secondaires qui disparaissent en générale dans les 10 jours.

    Si on vous a conseillé de ne pas lire les notices des médicaments avant de commencer votre traitements c’est que les réactions de l’organisme sont nombreuses à l’arrivée de ces nouvelles molécules très agressives et que le stress déjà créé par la connaissance de votre serologie peut entrainer lui aussi un rejet des traitements. Si vous ne vous faites pas davantage peur en lisant les notices, vous diminuez le risque de voir apparaître des effets indésirables qui pourrait être purement psycho-somatiques masquant d’autres effets plus inquiétant car l’apparission d’effets indesirables ne veut pas dire arret des traitement bien au contraire. Le médecin fera avec vous le choix entre les bénéfices réalisables, les gênes occasionnés et la tolérance psychologique au fait de prendre ces traitements.

    Durant les années qui suivent, il pourra arriver que les traitements soient arrêtés durant quelques mois, uniquement sur accord de votre médecin car l’arrêt brutal de votre traitement peut avoir des concequences graves et diminuer vos chances de combattre la progression de l’infection VIH en interdisant la réutilisation de certaines molecules. Ces arrêts permettent au corps et à la tête de soufler un peu. Plus vous avez le moral, plus votre corps se défend, plus vos traitements agissent, plus vous avez de chances de pouvoir faire une pose.
    Le plus important dans tout ça c’est de ne pas vouloir nier la maladie. De l’accepter pour ce qu’elle est et seulement pour cela et de ne pas la laisser mener votre vie.

    Elle change radicalement votre vision de la vie mais elle n’empêche en rien de vivre pleinement pour peu qu’on ne lui laisse que la place qu’elle doit avoir dans votre emploi du temps. C’est à dire, la prise des traitements, les analyses de sang avant la visite chez votre médecin tous les 3 ou 6 mois.
    Pour le reste, c’est comme tout le monde, penser à se protéger et à protéger les autres. Toutes nouvelles infections type Hepathite B ou C, siphylis,… peut rendre plus difficile le choix des traitements efficaces. Même si votre charge virale est indétectable (inferieur à 40 copies du virus par ml de sang), vous êtes contaminant donc vous devez protéger vos partenaires d’une éventuelle contamination. 40 copies du virus par millilitre sur 5 à 6 litres de sang, faîtes le calcul, ca fait beaucoup de virus …
    Le taux de CD4 est important mais pas déterminant, le rapport entre CD4 et CD8 est lui aussi très important dans la décision de prendre ou nom un traitement. Si les CD4 restent stables mais que les CD8 augmentent régulièrement, un traitement pourra être envisagé avant que les CD4 ne commencent à chuter. De même, des cd4 en petit nombre mais un bon rapport cd4/cd8 peuvent vous éviter un traitement durant quelques mois.

    Dans tous les cas, une aide psychologique peut vous aider dans un premier temps à accepter mieux cette situation. N’hésitez pas à en parler à votre medecin pour connaître au mieux cette infection et la façon dont vous devrait agir durant les nombreuses années que vous avez devant vous grace aux nombreux traitements disponibles actuellement.

    Gilles

    #92423
    anonymous
    Participant

    bonjour à tous

    couple libertin depuis 10 ans…toujours hyper protégé.
    mi janvier comme tous les ans,on fait un bilan complet.
    moi aucun problème..ma femme:1 test elisa positif et l autre négatif.d’aprés le labo ma femme est surement positive…donc imaginez la suite:angoisses,pleurs,déprime à fond…
    je suis dans le milieu médical,et je me dis il y a quelque chose qui cloche…donc je cherche en attendant w blot et pcr.lesquels reviennent négatifs.
    donc soulagement…mais non ,on refait les tests elisa et rebelote,résultats idem aux premiers et même discours du labo.le lendemain on refait les tests dans un autre labo…et là tout est négatifs…ainsi que w blot et pcr.
    d aprés un médecin biologiste il y a des personnes qui peuvent réagir positivement à un test elisa sans être porteur du vih,de plus il peut y avoir des raisons autres à cette séropositivité(grippe,malaria….la liste est longue).donc pour les résultats discordants pas de panique attendez les résultats de confirmation .
    surtout pas de moral sur les pratiques sexuels on est dans un pays de liberté…protégez vous,meme si le préservatif se déchire(cela m est arrivé 3fois en 10 ans).et donnez votre énegie à aimer et aider ceux que vous connaissez qui ont ce maudit virus.et vive la vie.

    #92586
    anonymous
    Participant

    Salut tout le monde,

    Et bien Bruno c’est dingue cette histoire ! Je sais mai pour moi si une histoire pareil m’arrive je me tire une balle le jour même.

    Ptit Greg

    #93114
    anonymous
    Participant

    Histoire parallèle, octobre 2005, pour commencer une nouvelle histroire, petit test de routine afin de ne plus être embêtée par un bout de latex : test HIV discordant, donc WB et p24 qui reviennent négatifs.

    Décembre 2005, test de vérification : résultats identiques. Je suis « officiellement » déclarée fausse positive.

    La je veux mettre un bébé en route, mais n’étant pas à 100% négative, l’ombre plane, donc je vais refaire un test, et l’angoisse des résultats est bel et bien là : suis-je toujours fausse positive, vont ils me trouver réellement positive ??? le doute refait surface. Je vais me prendre par la main et refaire ce test qui a pourri 5 jours de ma vie pour en finir, je l’espère.

    C’est rassurant de trouver d’autres personnes dans le même cas.

    #93158
    anonymous
    Participant

    derniéres nouvelles…ma femme est officiellement sero negative.
    le premier labo nous a téléphoné lundi pour s’excuser tout en disant que ma femme était le deuxième cas qu il rencontrait(femme enceinte),et qu il envoyait un rapport à mérieux pour signaler le cas.
    on a pasé 1 mois de doutes et d’angoisse que l’on souhaite à personne…au fait on a appris par un ami toubib qu une personne peut réagir postivement à un meme test elisa sans etre porteur du virus…faite comme nous essayer d’autres tests et surtout attendez pcr et wb.
    courage et espoir pour tous.

    #93478
    Sata
    Participant

    Bonjour à tous,

    J’ai lu tous vos textes et je dois dire qu’ils m’ont pas mal rassuré.

    Mon copain et moi avons décidé de nous faire dépister. Nous avons eu les résultats samedi dernier: moi négative, mon copain positif au HIV I et négatif au HIV II, le labo a donc tout de suite fait le test WB, et tout s’est révélé négatif.

    Le médecin nous a dit qu’il était confiant étant donné que le WB était négatif à 100 % et que la concluision des tests disait « Réactivité non-spéficique, prabablement ELISA » mais qu’il devait quand meme refaire un controle fin mars.

    Mon copain est devenu blanc…J’ai essayé de le rassurer et je crois que j’ai un peu réussi quand je lui ai montré des témoignages et des articles sur les faux-positifs…mais sa n’empêche pas que depuis samedi, on est quand même stressé.

    On attend la fin du mois pour le 2sd contrôle et on verra bien.

    #93583
    anonymous
    Participant

    bonjour sata

    surtout dans des moments comme celui là ne vous découragez pas,tenez bon…c’est un moment trés dur,maisqui va vous renforcez.
    si vous pouvez faites les tests elisas avec des techniques de labo différent ,sans oublier la charge virale et le w blot.
    car ma femme a réagit positivement 2 fois avec le meme test elisa mérieux et pas du tout avec trois autres, et négativement à chaque fois avec la charge virale et le wblot…..

    #93586
    Sata
    Participant

    Bonjour Frayeur…,

    Vous avez raison.

    On va aller dans un autre labo en attendant de faire le 2nd test fin mars.

    De toute façon on ne perd rien en y allant…

    Merci.

    #93611
    anonymous
    Participant

    Oui, j’ai lu un paquet d’article en faisant une recherche google « hiv faux positif », on est quand même nombreux, malgré la statistique de 1/20 000. Vive le net !!!

    Sata, j’ai fait mon 1er test en octobre 2005. Il m’a bien rassurée en me disant que si le Blott disait négatif, y avait pas a chipoter, c’était négatif (dans la mesure d’un prise de risque supérieur à au moins 6 semaines où le test est fiable à 99.9 %).

    Le second en décembre et les résultats étaient exactement les même. Le médecin m’a donc déclaré fausse positive.

    J’ai refait un test ce matin pour voir l’évolution (à ma demande, car je veux mettre un bébé en route et je stresse pour un rien) : je ne m’inquiète pas trop sur les résultats : test négatif 2 fois avec le Blott, mon médecin m’a rasuré en me disant qu’en cas de doute, il ne m’aurait pas me laissé me balader dans la nature avec ce risque ! Il a raison, mais dans ce genre de situation, la raison cède sous l’angoisse…

    Je vous tiendrai donc au courant, le positif résiste-t-il ??? Ou bien suis redevenue au bout d’un peu plus d’un an entièrement négative ? Aller, je rigole mais je stress quand même 🙂

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