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- Ce sujet contient 52 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Caramel22, le il y a 1 année et 11 mois.
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24 avril 2019 à 16h12 #62747Inquiète belgeParticipant
Bonjour,
Je me permets d’interagir sur ce forum, car je me trouve démunie et espère trouver des personnes ou des professionnels qui ont connaissance du syndrome d’auto=brasserie. En effet, sans boire une goutte d’alcool, une personne très proche a été contrôlée par la police avec un taux d’alcool de 0,36. Or, cette personne, depuis des années a de multiples problèmes de santé et malgré une hygiène de vie très stricte (alimentaire, sportive, traitement médical), continue à avoir des symptômes inexplicables (vertiges, malaise avec perte de conscience et amnésie, endormissement subi, changement subi d’haleine, hébétude, déconnection mentale,…)
Ses ennuis ont commencé au début de la trentaine, avec une goutte récidivante. Diagnostique : son corps produit naturellement trop d’urée==) médication
Ensuite, problème d’hypothyroïdie. —) médication
En 2010, infarctus —-) stent et médication ainsi qu’un régime strict (-14 kg en 4 ans). Dans les 3 jours de son infarctus, les Gamma GT explose inexplicablement.
En 2012, nous consultons un gastro en raison des gamma GT persistant. Celui-ci peine à croire que son alimentation est correcte et ne comporte pas d’alcool. Un début de cirrhose du foie est détecté (mesuré à 17).
En 2016, 2 œdèmes aigu du poumon et pose d’un deuxième stent sur la même artère (plus 8kg sans avoir modifié le régime strict)A présent, il est souvent fatigué, s’endort en 10 secondes s’il est inactif, surtout après le dîner. Malgré un régime alimentaire très strict, son poids ne diminue pas.
Le fait d’avoir été contrôlé avec un taux d’alcool illégal alors qu’il ne boit pas une goutte d’alcool depuis des années le perturbe fortement.
Il y a plusieurs années, ma mère avait vu une émission parlant de l’auto-brasserie (production anormale de levure à partir des glucides) et je pense sincèrement qu’il y a quelque chose à creuser de ce côté là.
Problème, la maladie est rare et peu connue de tous.
Pouvez=vous m’aider ?
Merci10 août 2019 à 13h19 #186096Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 août 2019 à 13h20 #186097Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 août 2019 à 13h20 #186098Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 août 2019 à 13h21 #186099Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 août 2019 à 13h21 #186100Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 août 2019 à 13h23 #186101Inquiète belgeParticipantBonjour, 3 mois après mon post, je peux apporter des éléments qui pourront certainement aider d’autres personnes.
Après moult recherches de praticiens compétents pour nous aider, nous avons eu la chance d’avoir les coordonnées d’une nutrithérapeute ingénieur en biochimie qui travaille avec un gastro-entérologue. Suite à cela, des analyses d’urines et sanguines poussées et spécifiques ont été réalisées. Ces dernières ont confirmé que mon époux avec une flore totalement atypique et avec une fermentation excessive de plusieurs types de levure. Par exemple, la norme maximale pour l’une d’elle était de 0,8 et lui était à 113. Avant même d’avoir les résultats des analyses, il a, entre autres, suivi un régime pauvre en glucides, sans gluten et sans lactose et pris des antifongiques ainsi que des probiotiques soigneusement choisis. Il devra avoir un régime pauvre en glucide à vie et prendre des antifongiques les 10 premiers jours de chaque mois, pour éviter que la fermentation reprenne de plus belle et provoque ainsi la production d’éthanol. Les améliorations cliniques ont été rapidement visibles : ventre dégonflé et mou, vigilance accrue, tension stabilisée, teint normalisé, perte de 8 kg au bout de 3 mois. Et nous avons eu la grande joie de constater que son début de cirrhose du foie s’était évaporée (échographie du foie à présent totalement normale). Le régime alimentaire qu’il poursuivait auparavant (pommes, poires, vinaigre de cidre, pain complet, graines,…)ainsi que la prise de certains médicaments (pantomed, spagulax) ont dans son cas augmenté le problème de fermentation,
Actuellement, suite à l’amélioration de sa santé, nous avons pu diminuer certains médicaments et en supprimer d’autres. Nous sommes heureux d’être tombés, enfin, sur deux professionnels à l’écoute et compétents dans le domaine.Cela prouve qu’il faut tenir bon et se démener soi-même pour trouver des solutions, et surtout qu’il ne faut pas se laisser détruire face à des médecins qui nient ce que vous dites (« il ne consomme pas d’alcool, et n’a pas d’alimentation riche en graisse et en sucre ») et ne cherche pas en dehors des chemins connus.
Ce syndrome d’auto-brasserie n’est donc pas un mythe, comme certains le pensent, et à des conséquences désastreuses sur la santé de ceux qui en souffrent ainsi que sur leur vie sociale.
10 septembre 2019 à 15h00 #186367Titi137ParticipantBonjour
Quelles analyses ont été effectuées pour le diagnostic svp?
Merci10 septembre 2019 à 15h00 #186368Titi137Participantnull
10 septembre 2019 à 15h00 #186369Titi137ParticipantBonjour
Quelles analyses ont été réalisées pour le diagnostic svp?
Cordialement10 septembre 2019 à 17h51 #186371Inquiète belgeParticipantBonjour Titi,
Principalement des analyses métabolites organiques urinaires : modèle bactérien (4-OH-benzoate, 4-OH-phenylacétate, indole-3-acétate entre autres) et modèle fongique (arabinose, arabinitol,…)
Bien à vous
10 septembre 2019 à 17h51 #186372Inquiète belgeParticipantBonjour Titi,
Principalement des analyses métabolites organiques urinaires : modèle bactérien (4-OH-benzoate, 4-OH-phenylacétate, indole-3-acétate entre autres) et modèle fongique (arabinose, arabinitol,…)
Bien à vous
10 septembre 2019 à 17h51 #186373Inquiète belgeParticipantBonjour Titi,
Principalement des analyses métabolites organiques urinaires : modèle bactérien (4-OH-benzoate, 4-OH-phenylacétate, indole-3-acétate entre autres) et modèle fongique (arabinose, arabinitol,…)
Bien à vous
10 septembre 2019 à 17h53 #186374Inquiète belgeParticipantBonjour Titi,
Principalement des analyses métabolites organiques urinaires : modèle bactérien (4-OH-benzoate, 4-OH-phenylacétate, indole-3-acétate entre autres) et modèle fongique (arabinose, arabinitol,…)
Bien à vous
10 septembre 2019 à 17h54 #186375Inquiète belgeParticipantBonjour Titi,
Principalement des analyses métabolites organiques urinaires : modèle bactérien (4-OH-benzoate, 4-OH-phenylacétate, indole-3-acétate entre autres) et modèle fongique (arabinose, arabinitol,…)
Bien à vous
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