psychose chronique, personnalité pathologique

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  • #46875
    mandelkorn
    Participant

    Ma famille a concentré ses efforts sur bien d’autres éléments de ma vie que ce que j’ai connu, notamment dans le cadre de mon service militaire. J’ai d’abord du renoncer à faire un IUT, alors que j’étais premier sur la liste d’obtention d’un baccalauréat « techniques de gestion ». Circulaire à l’appui, j’ai le sentiment qu’un autre expert politique aurait pu déployer plus valablement bien d’autres éléments que ceux préfigurés dans l’appel. sous les drapeaux. Ce qui est prétendu neufs ne vaut pas que pour mon service militaire. J’étais assujetti à mes tâches quotidiennes longtemps avant et j’ai décroché, j’ai eu une réforme définitive numéro 2 à l’appui de laquelle, rien d’ambigus subsistait. pour les psychiatres civils qui m’ont ensuite suivi. En clair je réitère surtout l’influence familiale comme bénéfique n’éprouvant pas de problèmes sur le plan de la filiation. Je méconnais le droit, jusqu’alors d’autres éléments de vie achoppaient à la biographie et à l’étude de neurologie, rien nes ubsiste si ce n’est qu’un psychiatre civil a porté plainte contre l’armée dans le cadre des pensions. De ce qui au demeurant était raisonnable pour moi, notamment ne pas stopper le traitement sous neuroleptique, j’ai du continuer. Pourquoi ? Sans doute que peu de chose n’offre pas la possibilité d’être joins à une offre de soins acceptable, cette offre si sévère soit-elle ne fait pas l’unanimité chez certains psychiatre qui la conteste, il faut don que soit enfin reconnu perceptible, hors du champs d’écoute purement imaginatif et divagateur mon problème et c’est la question que je pose..
    .

    #120830
    mandelkorn
    Participant

    Depuis une longue procédure a eu lieu, entre l’Etat et moi. Sans certificat médicaux, l’armée a sortit sa responsabilité dans ce qu’elle appelle des séquelles d’épisodes psychotiques aigues, une labilité émotionnelle, angoisse, fatigue. Moi, je n’ai pu qu’assister à des taux au plus bas de l’échelle, j’ai montré qu’il y a eu abus, j’ai mis cela sur des props fallacieux de ma hiérarchie militaire. L’Etat a autorité de la chose jugée, rejette tous manquements sanitaires de l’armée, reste sans se prononcer sur une psychose chronique sur une personnalité pathologique. Y aurait-il un spécialiste que mon cas intéresse qu’il profilerait le concept comparatif de bénin, en tout cas, j’ai subit une cure de sommeil et depuis d’autres soins, notamment une intervention chirurgicale pour des hémoroïdes et un traitement au Zyprexa 5 mg que je conserve.

    #120836
    Christiane59
    Participant

    Bonjour,

    Sujet trop complexe dont les seuls faits relatés ici ne peuvent pas permettre une aide concrète car déjà on a un peu de mal à savoir ce que vous souhaitez comme aide d’ailleurs.

    Un soutien, un conseil médical d’un des médecins du site ?
    Sans connaître le dossier en détail, et à distance en plus, ce n’est guère possible.

    Si c’est un conseil juridique je vous propose plutôt de vous rendre sur un forum de ce type : http://www.voslitiges.com/forum.html

    Mais un médecin en contre-expertise peut aussi être contacté.

    #120861
    mandelkorn
    Participant

    C’est une vraie procédure juridique devant la Cour des pensions militaires. Il y déjà eu deux expertises. Une vers la période hors durée militaire, l’autre sur les données neurologiques. A ce jour c’est le rejet de la Cour qui est définitif, et par l’autorité de la chose jugée ainsi que par le manque de certificats d’aggravation de mon état de santé. L’abus d’internement a été plaidé pour ma période sanitaire.

    #120862
    mandelkorn
    Participant

    Ma famille a concentré ses efforts sur bien d’autres éléments de ma vie, j’ai évidemmen le sentiment qu’un autre expert pourrait déployer une vraie contre expertise , ceci d’autant plus valablement pour bien d’autres éléments que ceux préfigurés par des diagnostics stricts sans appel.

    #120863
    mandelkorn
    Participant

    . Pour qui connaît la psychiatrie, on ne retrouve pas de pathologie suffisante en rapport avec l’affection dite « personnalité pathologique ».Quant à cette psychose chronique, il faut aussi retenir qu’elle ne retient pas ce qu’en langage annoncé, elle devrait contenir toujours en psychiatrie. Sans en montrer l’existence claire et limpide, l’armée écarte avant tout sa responsabilité. Je ferme donc les deux affections et ce procès avec amertume tout en sachant que l’artifice juridique d’un Etat est costaud. Plus costaud qu’un seul homme.

    #120895
    Christiane59
    Participant

    Bonjour,

    Quand on ne peut pas avoir satisfaction avec un tribunal d’un pays on peut faire appel à la Cour de Justice des Communautés européennes qui peut alors statuer.

    http://www.touteleurope.fr/fr/organisation/institutions/cour-de-justice-et-tribunal-de-premiere-instance.html

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