le paludisme

Home Forums Maladies rares le paludisme

2 sujets de 1 à 2 (sur un total de 2)
  • Auteur
    Messages
  • #33667
    boubou
    Participant

    Il y a une personne de mon entourage qui a été assjetti au paludisme étant enfant quand elle était au pays, aujourd’hui cette personne a 24 ans, vie dans un pays nordique et contracte toujours le palue et ceux au moins 1 fois par an.
    les symptomes sont toujours les memes, mais est ce que les symptomes peuvent évoluer de facon plus graves? et je veux savoir lesquels et quels sont les médicaments existant pour l’arreter ou le freiner.
    merci d’avance de votre réponse

    #83274
    anonymous
    Participant

    Le traitement qui permet de soigner le paludisme doit toujours être débuté rapidement. Quelquefois même en extrême urgence quand on suspecte un accès pernicieux qui survient aussitôt après la primo invasion (première infection) soit après un accès simple. L’accès pernicieux peut également survenir brutalement sans signe annonciateur. Le traitement est identique que pour le traitement préventif c’est-à-dire utilisation de la chloroquine ou si l’on préfère de la nivaquine, de la quinine, de la méfloquine (Lariam), de l’amodiaquine. Néanmoins le traitement d’un accès simple est différent de celui d’un accès pernicieux. Il en est de même du traitement préventif qui est différent quand il y a risque de résistance au traitement dans les pays où le patient arrive.
    Le traitement de ce paludisme est devenu généralement résistant la nivaquine. Il repose sur la quinine orale à raison des 1,5 g par jour pendant cinq jours. L’Halfan à raison de six comprimés en trois prises à six heures d’intervalle, Lariam (trois comprimés puis de comprimés à huit heures d’intervalle) ou le Fansidar (trois comprimés en prise unique. Le paludisme, en dehors du paludisme à plasmodium falciparum, est sensible à la nivaquine à raison de 24 comprimés à répartir sur six jours. L’accès pernicieux quant à lui nécessite un traitement par la quinine en intraveineuse suivie par la méfloquine. Parfois d’autres traitements sont utiles. Il peut s’agir des médicaments pour lutter contre la survenue de convulsions. Certains patients nécessitent même des transfusions, une réhydratation et en présence d’un oedème du poumon, un traitement est adapté à cette affection.

2 sujets de 1 à 2 (sur un total de 2)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.