gros probleme de jeu compulsif

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  • #35946
    tom 75
    Participant

    j’ai une gros probleme de jeu compulsif depuis 17 ans j’ai 30 ans….3 therapie,5 ans de psy, accuponcture,hypnose,medicament,produit naturel et j’en passe…presentement j’essais de faire 24h et c’est tres dure….d’apres les medecin ce serai une probleme d’endorphine mais je sais pas ce que je pourrait faire pour me donner un boust d’endorphine qui ferai que n’aurait pas besoin d’aller jouer car j’aurai ma dose….mon record d’arret depuit 17 ans est 97 jours et j’en suis tres fier…ca a l’air fous 97 jours sur 17 ans mais j’en suis tres fiereet j’essais de retrouver cette etat de bien etre,,,ca fait 2 ans depuis 16 nov 2004….je sais que mon probleme a moi est du a mes nerotransmetteur…………………….vos idee seront a essayer…

    #88089
    celine59
    Participant

    Bonjour tom,

    Effectivement tu as sombré dans l’addiction au jeu…Tu viens de paris? tu as certainement été soigné à Marmottan pour cela?

    L’endorphine si ca peut t’aider, s’obtient également par le sport, mais il ne s’agit pas de substituer une addiction par une autre…

    Tu as développé d’autres activités? d’autres loisirs?
    Tu connais la thérapie comportementale et cognitive?
    Elle a donné de bon résultat dans certain cas d’addiction aux jeux…

    Bon courage
    j’espère t’avoir été d’une petite aide, en tout cas, ne baisse pas les bras… et ne prend pas ca comme une fatalité sans réponses adéquates…

    Céline

    #91158
    anonymous
    Participant

    Lorsqu’on parle de thérapie pour résoudre un problème de comportement compulsif, il faut être averti, conscient et accepter avant de commencer que ces thérapies sont très difficiles à réussir pour au moins six grandes raisons :

    1) Parce que les personnes adultes qui ont développées des comportements compulsifs complexes et graves depuis leur enfance sont devenu des personnes avec un système musculaire et un système nerveux énormément tendu en permanence, quand ils commencent une thérapie toute situation conflictuel ou décevante devient une autre source de tension qui s’ajoute à la tension habituelle et la marge de manœuvre pour la thérapie devient mince avant que ça dépasse le seuil intolérable de tension ou la personne ressent ça comme une douleur et qu’elle abandonne la thérapie.

    Explications
    Les personnes adultes qui ont des comportements compulsifs complexe et grave ont commencé à adopter des comportements compulsifs simples et inoffensifs dans leur enfance. Pendant un certain temps ils réussissaient à dépenser suffisamment d’énergie pour dissiper la tension émotive causée par les petites difficultés rencontrées. Mais à mesure que leur vie devenait plus complexe les émotions devenaient plus forte et duraient plus longtemps alors ils devaient trouver des comportements compulsifs plus sérieux et qui dépense plus d’énergie.

    Une personne peut avoir commencé étant enfant par un comportement compulsif comme mâcher de la gomme tout le temps, en grandissant elle change pour fumer beaucoup ou manger beaucoup ou très sucré, vers 18 ans, boit des boissons alcoolisée très souvent. Quand elle commence à travailler, elle travaille beaucoup et trop vite,quand elle devient très tendu émotivement elle adopte plusieurs comportements compulsifs en même temps comme travailler beaucoup boire beaucoup de boissons alcoolisées ou prendre de la drogue et quand ça ne suffi pas jouer à des jeux de hasard à l’argent.

    Quand un enfant ressent une tension émotive dont il est incapable de se débarrasser par des moyens rationnels comme s’exprimer verbalement ou physiquement, il se peut qu’il se rende compte que quand il dépense de l’énergie à faire quelque chose comme mâcher de la gomme presque tout le temps ou pratiquer un sport de façon agressif souvent ou jouer à des jeux vidéo agressif souvent, ou manger vite et beaucoup souvent il se sent beaucoup moins tendu après. Alors il est fort probable qu’il adoptera ces activités à chaque fois qu’il sentira une tension se développer dans son corps qui est produite au moment ou il vit une situation difficile , même s’il n’a pas envie vraiment de faire cette activité.

    Alors l’activité qu’il aura choisi parce qu’elle le débarrasse de la tension deviendra à la longue un comportement compulsif. Ce comportement devient compulsif quand le fait de faire cette activité et de la faire de façon agressif et intense sert à réduire ou élimine la tension mais n’est pas pratiquer pour autre chose comme avoir du plaisir. Alors l’enfant qui fait ça va finir par penser qu’il est obligé de faire cette activité et que l’intensité est exigent et il n’aimera pas ça d’être obligé alors il sera hanté par toutes sortes de pensées et de jugements sur lui ce qui lui occasionnera des émotions qu’il ne pourra pas gérer à nouveau et comme conséquence il deviendra encore plus tendu et pour se débarrasser de cette nouvelle tension il devra faire encore plus l’activité qu’il n’aime pas faire mais qu’il doit faire et c’est le début d’un cercle vicieux qui commence et qui devient une compulsion.

    La tension survient parce que nous avons fait monter la vapeur et que nous ne pouvons pas la relâcher immédiatement sous forme d’action. Évidemment la conséquence directe de ceci est que plus nous devenons émotifs, plus grande est la quantité d’énergie que nous devons convertir en mouvement, afin de nous en débarrasser. Nous devons libérer l’énergie d’une façon ou d’une autre parce qu’une fois produite, il est impossible de la garder inactive l’idée populaire que nous pouvons cacher des émotions pendant des années est due à un malentendu. On ne réprime pas les « émotions » mais des idées qui, si nous leur avions permis de fleurir, auraient entraîné des émotions que nous pensions trop puissantes et trop subversives pour pouvoir les contrôler.

    Les personnes qui ressentent des émotions utilisent toutes sortes de moyens pour relâcher cette tension crée. Certaines vont agir pour relâcher tout d’un coup et très rapidement cette tension en disant ou faisant quelque chose de suffisamment dramatique, violent ou exténuant, pour relâcher leur tension physique et l’inconfort qui l’accompagne immédiatement quand elles sentent l’émotion, ce sont des personnes ayant un caractère ou une personnalité impulsive. Ce type de personnalité est détestable pour les autres qui ont à la subir et dommageable pour les relations mais moins dommageable pour la santé de celles qui la possède.

    Un comportement qui devient compulsif ne réussi jamais à éliminer toute la tension émotive à cause de la compulsion qui génère une autre tension. A la longue un enfant qui ne résout pas les difficultés rencontrées par des moyens rationnels et qui vit des émotions qui ne réussi pas à gérer correctement et qui comme conséquence vit une tension émotive et adopte un comportement compulsif pour tenter de diminuer cette tension, finit par développer une tension permanente de tout son système musculaire et de son système nerveux en plus de développer un besoins et une souffrance du manque si lui arrive de vouloir arrêter le comportement compulsif.

    Si cet enfant vit pendant sa croissance souvent des tensions émotives et adopte un comportement compulsif à chaque fois, à l’âge adulte il sera tout le temps dans un état de tension musculaire et nerveuse permanente et il ne sentira presque plus de sensations corporels agréables ou désagréables quand il fera d’autres activités que ceux de sa compulsion.

    Ce qu’une personne qui a des comportements compulsifs doit comprendre de sa situation, c’est que depuis son enfance elle a toléré des souffrances produites suite à des conflits non résous, au point de s’endurcir et de ne presque plus sentir de sensations agréables ou désagréables dans son corps. A l’âge adulte elle a un seuil de sensation de la douleur trop haut dû à la tension de son système nerveux et des contractions musculaires partout dans son corps. Lorsqu’elle mange, travaille ou est en relation avec d’autres personnes, elle ne sent pas dans son corps des sensations agréables ou désagréables qui l’informent de malaise ou de plaisir à faire ce qu’elle fait. En plus comme elle est déjà très tendu en permanence ça ne prend pas beaucoup de nouvelle tension émotive crée par une situation de conflit pour faire dépasser le seuil limite qui l’obligera à faire une activité de façon intense et agressive qu’elle regrettera par la suite en lui causant d’autres émotions et plus de tension plus de la même activité plus de regret plus d’émotions ce qui devient une compulsion.

    Une personne compulsive qui est dans un état permanent de tension musculaire et nerveuse travaille beaucoup avant de ressentir de la fatigue et quand elle la ressent elle a dépassé beaucoup trop ses limites, elle ressent une fatigue excessive et elle n’est pas à l’écoute des sensations corporelles qui lui permettrait de ne pas dépasser ses limites d’énergie. Alors elle aura de la difficulté à dormir, elle manquera d’attention dans son travail elle sera incapable de trouver des moments d’arrêt pour se reposer, son cerveau va être continuellement en train de penser à sa situation, ses pensées lui causeront d’autres émotions qu’elle ne pourra gérer et sa tension ne cessera d’augmenter jusqu’à ce une maladie ou un épuisement mettera un terme a ce cercle vicieux et il poura alors dire, tout à fait sincèrement, qu’il a dû abandonner pour des raisons de santé.

    Exemple-

    La personne compulsive dans le travail qu’on qualifie ambitieuse se chargera de plus de responsabilités qu’elle peut en assumer, quand elle découvre qu’elle s’est surchargé, sa peur de l’échec l’empêchera de s’avouer battu. Comme elle ne se sentira pas capable, elle ressentira de l’anxiété qui lui provoquera des troubles digestifs, de l’insomnie ou d’autres manifestations physiologiques. Elle abandonnera ses nouvelles responsabilités en disant que c’est pour des raisons de santé. Le désordre physique sans trop de gravité a freiné l’escalade émotive et compulsive de cette personne ambitieuse, la protégeant du pire soit d’un épuisement ou d’une dépression nerveuse.

    Dans la plupart des cas les symptômes physiques viennent arrêter l’augmentation de la perturbation émotive causée par une compulsion qui peut alors se calmer laissant la victime en paix avec elle-même et persuadée qu’elle n’est pas nerveuse ou compulsive elle est simplement fatigué ou épuisée.

    Une personne qui n’est pas en permanence en état de tension musculaire et nerveuse, ressent tout le temps des sensations agréables et désagréables dans son corps lesquelles sont fonction de ce qu’elle vie ou fait. Quand les sensations sont désagréables ou légèrement douloureuses, elle cherche leur signification et change quelque chose à la situation, de cette façon elle ne dépasse rarement ses limites d’énergie, ce qui est bon pour sa santé et en plus elle peut supporter beaucoup plus facilement une nouvelle tension causée par une situation de conflit avant d’être obligé d’adopter un comportement compulsif.

    2) Comme les personnes qui ont des comportements compulsifs ont leurs systèmes nerveux et musculaire sous tension élevé tout leurs systèmes sensitifs, vue, ouie, odorat, le goût, le touché et sensations corporelles internes sont presque bloqués aux perceptions ordinaires et habituelles mais fonctionnent au moment du comportement compulsif à la seul condition que l’activité dépasse un seuil assez élevé.

    A ce moment chacune de ces personnes ressent un petit plaisir, en dehors de cette situation cette personne ne sent aucun autre plaisir. C’est pour cela que la personne qui veut arrêter un comportement compulsif à de la misère à arrêter. Même si le trop de leur activité qui déclenche la compulsion devient un inconvénient, elle a de la difficulté à accepter de perdre le seul petit plaisir qu’elle a. Pour elle la seul autre possibilité de ressentir un peu de plaisir c’est d’adopter un autre comportement compulsif plus complexe ou plus grave, mais le problème dans tout ça c’est qu’une personne a rarement un seul comportement compulsif, le joueur compulsif est souvent aussi un travailleur compulsif ou un buveur compulsif, le mangeur compulsif est souvent un adepte de la propreté compulsif et ainsi de suite.

    . 3) Parce qu’il est difficile pour les personnes qui sont dans un état de tension musculaire et en plus envahi par une tension émotionnelle qui brouille leur raisonnement de bien utiliser leur cerveau pour analyser et comprendre pourquoi elles font quelque chose qui est très mauvais, il serait souhaitable qu’une personne qui veux arrêter un comportement compulsif, commence par réduire ou éliminer la tension musculaire avant de commencer à s’observer et chercher à comprendre ce qui lui arrive et le pourquoi de ce qu’elle fait. La personne qui veut suivre une thérapie n’est habituellement pas prête à faire des exercices pour diminuer ou éliminer sa tension musculaire et nerveuse, si on lui propose elle trouve ça fatigant et douloureux.

    4) Parce que les personnes qui ont des comportements compulsifs sont des personnes intraverties qui vivent une situation de l’intérieur par une multitude de pensées avant d’agir, l’activité de leur cerveau ne cesse presque jamais, alors il est difficile et même parfois impossible pour elles de résister aux pensées d’auto jugement ou d’autocritique et de répression qui vont causées des émotions et des tensions émotives. Les pensées de ce genre viennent de l’éducation autoritaire qu’elles ont reçue de leurs parents. Pour qu’un thérapie réussisse il peut s’avérer nécessaire de revenir sur son passé et la personne a comportement compulsif est effrayée de revoir son passé et sa responsabilité et celle de ses parents dans ses problèmes pour réussir a retrouver la maîtrise de soi
    5) Les personnes qui ont des comportements compulsifs ont grandi en étant persuadé que les forces de ce monde sont trop puissantes et trop dangereuses pour s’y mesurer, elles cessent de réagir avec créativité aux événements extérieurs qui pourraient stimuler leurs désirs de vivre par l’excitation, la curiosité et le désir de l’aventure que ces évènements amènent parfois. Elles identifient l’excitation comme l’ennemi à combattre et à renverser, plutôt que leurs pensées paralysantes et la peur en l’absence de danger que ces pensées produisent. Si une personne veut sortir de son état de tension permanente et de ses comportements compulsifs, elle doit accepter de ressentir des sensations corporelles qui l’excitent sans essayer de tuer cette excitation non sollicitée par une autre excitation choisie et provoquée par une compulsion.

    6) Parce que les personnes qui ont des comportements compulsifs par crainte de la douleur elles choississent ces comportements compulsifs pour essayer d’éviter la confrontation de leurs problèmes émotionnels. Pour une personne qui entreprend une thérapie il lui sera difficile de réussir si elle n’accepte pas l’inconfort, le désagrément et même la douleur de la confrontation de son état et de sa situation et ça c’est dure à accepter pour elle parce qu’elle a toujours essayé d’éviter ça.

    #91161
    anonymous
    Participant

    Comment se débarrasser d’un problème de Jeux compulsif

    Une personnes qui a développée et appris à faire des comportements disfonctionnels compulsifs( l’alcoolisme, la toxicomanie, les jeux de hasard, la boulimie, l’anorexie et la cigarette) ou impulsifs ( l’agressivité,et la violence ) pour éliminer une tension nerveuse produite par une frustration, elle ne peut plus perdre cette apprentissage elle pourra tout au plus ne plus la pratiquer parce qu’elle n’en aura pas besoin tout comme celui qui a appris à conduire une auto n’a pas besoin de conduire s’il prend l’autobus ou le transport en commun ou qu’il a un chauffeur privé.

    Ce qu’il faut a celui qui a appris quelque chose de nuisible et qui veux s’en débarrasser c’est de trouver une façon de ne plus avoir besoin de son apprentissage. Par exemple toute les personnes qui adoptent des comportements disfonctionnels parce qu’elles ressentent une tension nerveuse lors d’une frustration, ces personnes passent à l’action et font leur comportement seulement quand leur niveau de tension atteint et dépasse un seuil critique ou elle ressent un inconfort intolérable proche de la douleur. Ces personnes passent à l’acte parce qu’elle n’ont pas beaucoup de marge de manœuvre entre le niveau ou l’état de tension nerveuse habituelle hors d’une situation de frustration et le niveau critique limite qui devient inconfortable ou douloureux.

    Pour ne pas que ces personnes aient besoins de faire un comportement qu’elles ont apprise et qu’elle pratiquent habituellement, elle doivent trouver le moyen de diminuer à un niveau très bas leur tension nerveuse par de la relaxation et des exercices pour défaire leur tension musculaire et après il devront apprendre a faire d’autres comportements quand ils vivent de tels situations pour avoir plus de choix de comportement. La majorité pour ne pas dire la totalité des personnes qui ont des comportements disfonctionnels ont seulement un seul choix de comportement quand ils ressentent une poussée de tension nerveuse à l’occasion d’un frustration. Il ne sert à rien d’essayer de faire apprendre de nouveau comportements (changement) à quelqu’un qui est habité par une tension nerveuse élevée en permanence.

    Comportements fonctionnels Comportements disfonctionnels avant changements

    Comportements disfonctionnels après changements

    Le fait que des personnes aient toujours les mêmes comportements disfonctionnels prouve qu’elles évitent de connaître d’autres expériences nouvelles et c’est aussi parce qu’ils ne connaissent pas d’autres possibilités qu’elles posent toujours les mêmes comportements elles s’enferment alors dans un système plus ou moins clos. Ces apprentissages de comportements commencent très tôt dans l’enfance et ne changent presque plus après.

    Vous êtes une personne qui est habitée par des tensions émotives si vous avez un ou des comportements suivants si vous êtes: incapable de vous arrêter de faire quelque chose pendant quelque minutes, si vous mangez vite tout le temps, si vous dormez de façon agitée tout le temps, si vous êtes incapable de porter attention a une autre qui parle, si vous avez des difficultés de mémoire souvent ou tout le temps, si vos sens vue, odorat, goût, audition et le touché ne sont pas développés ou sensibles, si votre corps est rigide, si vous êtes sensible au froid et avez des froideurs dans les extrémités des jambes, si vous avez des tics nerveux ou des manies

    Moi je suis une personne dyslexique qui a en plus un comportement compulsif dans la nourriture et le travail mais pas dans le jeu ni dans la drogue ni dans la boisson. J’ai depuis une quinzaine d’année chercher des moyens pour régler ce problème, j’ai lue beaucoup sur le sujet ça ne m’a pas vraiment aidé, j’ai même essayé l’hypnose et ça m’a pas vraiment aidé j’ai consulté plusieurs psychologues et c’est le dernier que j’ai consulté qui a mis le doigt sur le vrai problème quand il m’a dit « au fond ton problème c’est que tu es tout le temps tellement stressé ou tendu que quand survient une petite difficulté qui vient augmenté encore cette tension et qui la fait atteindre un seuil critique que tu ne peux supporter que la tu dois trouver un moyen de dépenser de l’énergie pour faire baisser la tension , tu devrais faire de l’exercice physique pour diminuer ton stress » Après je n’ai plus consulté personne j’avais compris le fond de mon problème. Comme je suis autodidacte j’ai visité une bibliothèque et j’y ai cherché des livres sur les exercices ou activités physiques, c’est alors que j’ai tombé sur un livre sur le yoga qui expliquait la différence entre les bienfaits des exercices de yoga et ceux d’un sport ou d’une activité physique.

    J’ai commencé seul sans guide des positions et des exercices de respiration de yoga a raison 1 heure par jour 3 heures après un repas, les premiers jours c’était très inconfortable et même douloureux après une mois c’était devenu plus facile, beaucoup moins douloureux et je commençais a voir un changement après trois mois c’était devenu même agréable et la je sentais une énorme amélioration de ma condition. J’étais beaucoup moins tendu, je dormais mieux et plus profondément. Comme j’étais moins tendu j’ai pu commencer à manger, travailler, parler en fait à faire plus lentement toutes mes activités. Moi je mangeais 2 barres de chocolat par jour en plus des desserts très sucrés aux repas et des trois cuillères de sucre dans chaque café.

    Plus je faisais mes exercices de yoga plus je trouvais mauvais tous ce qui était trop sucré et plus je goûtais les aliments que je mangeais, plus je sentais les odeurs autour de moi, plus j’entendais les paroles les sons et les bruits autour de moi et c’est à ce moment que je me suis rendu compte que les objets autour de mois étaient de couleur différente et je trouvais ça beau je pense que auparavant je les avaient toujours vu en noir, gris et blanc.

    Après 6 mois de pratique régulière toujours 1 heure par jour et a tous les jours, je me suis mis a détester tout ce qui était sucré même légèrement et j’ai ressenti je pense pour la première fois de ma vie du plaisir à regarder la nature, a entendre le chant des oiseaux a prendre une grande respiration d’air pure et a ne rien faire pendant un certain temps ce que je n’avais réussi avant à faire. Moi qui avais mal à plusieurs endroits du corps je n’avais plus mal à nulle part et j’étais en très grande forme physique avec des réflexes très développés. J’ai commencé à avoir beaucoup plus de facilité à être en relation d’amitié avec d’autres personnes et à résoudre les problèmes que je rencontrais. Moi qui avais toujours manqué de temps et d’énergie, j’étais rendu à avoir trop de temps libre et énormément d’énergie. Trop de temps libre parce que j’avais besoins seulement de 5 heures de sommeil au lieu de 8 et je n’étais pas obligé de travailler des heures supplémentaires alors je me suis mis a m’ennuyer parce que tout ce que je faisais par compulsion avant je n’en avais plus maintenant besoins et plus le goût de le faire, j’ai du chercher des choses à faire que j’aimerais faire.

    Alors je me suis dit que si les exercices m’avais permis d’arrêter un comportement compulsif dans la nourriture et le travail sans avoir eu besoins d’un sevrage, j’ai pensé que ces exercices pouvaient peut être servir aux alcooliques et aux toxicomanes. J’ai proposé successivement à deux centres d’aide aux toxicomanes et aux alcooliques d’essayer gratuitement avec des volontaires, les exercices qui m’avaient aidé à sortir de mes comportements compulsifs. Ils ont refusé l’offre prétextant qu’ils suivaient une méthode reconnu et efficace à leurs yeux. Après leur refus j’ai essayé de leur démontrer que leur méthode n’était pas ou peu efficace à partir d’un exemple d’une personne qui suit leur méthode et qui fume et qui a en même temps a un problème avec l’alcool. Si leur méthode serait efficace cette personne du même coup règlerait son besoin de fumer en même temps que son besoin d’alcool et qu’elle ne serait pas toujours obliger de lutter après pour ne pas recommencer.
    La pratique de la méditation permet de prendre en charge sa propre santé physique, émotionnelle et mentale, et d’accéder à une forme de spiritualité autant libre que joyeuse, dans le respect des différentes religions et de leur message. La spiritualité consiste à prendre conscience de notre dimension spirituelle, chercher à mieux connaître l’Esprit qui réside en nous et tenter de mettre notre vie intérieure en harmonie avec notre vie quotidienne.
    En plus de méditer une personne peut faire des exercices de respiration et de postures empruntés au yoga, pour avoir plus de bienfaits et retrouver plus vite la joie de vivre. Le yoga lui donne santé et longévité par les positions qui rendent la souplesse à la colonne vertébrale, véritable axe vital, calment ses nerfs surexcités, relaxent ses muscles, vivifient ses organes et ses centres nerveux. Les exercices respiratoires apportent de l’oxygène et de l’énergie à chaque cellule, décrasse l’organisme en brûlant les déchets, expulse les toxines, tandis que la relaxation lui permet de préserver l’intégrité de son système nerveux, le prémunit contre la névrose, le délivre de l’insomnie.

    La méditation sur sa respiration

    1) la méditation qui est une méthode pour mettre au repos notre cerveau qui est le siège des pensées qui génèrent nos émotions négatives et qui engendre une tension nerveuse et musculaire lesquels produisent des sensations physiologiques très désagréables et quelque fois insupportables. Quand le cerveau tombe au repos les émotions négatives et les sensations physiologiques disparaissent et au même moment le cerveau en lâchant prise libère des endorphines dans le système sanguin lesquels agissent sur les organes du corps pour les apaiser.
    La méthode consiste à s’asseoir dans une position ou l’ensemble du corps est laissé à son état naturel mais où les jambes sont placées dans la position du lotus. Cette position est difficile et inconfortable et peut être légèrement douloureuse pour un débutant parce que les muscles des jambes et des genoux sont fortement sollicités. Le but de cette position désagréable est de distraire le cerveau qui met de côté pendant ce temps les pensées et les émotions négatives et positives. Ensuite, une fois que cette posture est acquise, il est possible de faire deux choses soit de répéter un mantra yogique om-mani-padme-om ou tout simplement de porter son attention sur sa respiration et de laisser toute « égocentricité » se retirer au profit du seul fonctionnement organique du corps sous tendu par une respiration claire, légère et profonde (profonde du point de vue de sa durée et de son amplitude). Enfin, il convient de tenir cette attitude sans s’endormir et sans s’affoler. A ce stade, il n’y a plus de Mr X, de fils de Y, de père de Z. A ce stade, il n’y a rien d’autre que l’inspiration et l’expiration.
    Je crois que l’un des premiers aspects c’est bien entendu la posture ou le confort que l’on doit absolument trouver dans la posture. La posture ça veut dire l’équilibre global du corps, la décontraction de la nuque et surtout la détente du bas ventre. Tous cela consiste en équilibres nombreux à trouver et à maintenir tous ensembles en harmonie avec la respiration. Il s’agit là déjà d’une certaine activité, d’une certaine visée tendant à la mise en place d’une méditation plus profonde. Ceci peut prendre quelques jours avant de s’installer dans sa posture. Il convient alors de bien observer ce qui se passe dans la mise en place physique de la combinaison « posture  » et « respiration « . Il convient aussi de laisser s’installer les équilibres qui s’imposent assez facilement.
    Certains disent qu’il n’est pas obligatoire de s’astreindre à la position en lotus ou en demi lotus, ça peut être vrai pour des personnes qui veulent se détendre mais pas pour des personnes qui sont fortement tendues, ils ne seront pas capable de se détendre ou d’arrêter leur cerveau de penser, mais la position du lotus ou demi lotus force le cerveau à porter son attention sur l’inconfort.
    La pratique de la méditation seulement quand une personne se sent envahi par une tristesse ou mal être intérieur va réussir à calmer son système nerveux et lui apporter un apaisement de ses sensations désagréables mais une pratique soutenu pendant 10 à 20 minute chaque jour régulièrement va faire qu’elle va se sentir calme, paisible et remplis d’amour, son système immunitaire s’en trouvera renforcé par ces états qui produisent des modifications dans son cerveau.

    #93224
    anonymous
    Participant

    bonjour, je pense être moi même atteinte d’addiction aux jeux de hasard et ne sais pas comment en sortir.
    tout a commencé lorsque j’ai travaillé dans un tabac qui vendait des jeux (grattage et lotterie). J’ai réussi à aller jusqu’à voler pour jouer alors que je n’ai jamais volé de ma vie…Maintenant, il me faut rembourser des sommes énormes qui devaient me servir, un jour, à acheter un commerce ou une maison.
    Je ne comprends pas trop cette histoire d’endorphine. quelqu’un peut-il me rensigner? Je viens de m’apercevoir (il y a un mois) que j’étais une joueuse compulsive et que lorsque je rentrais dans une période que j’appelle « période de crise », rien ne pouvait m’arrêter de jouer, je jouais tout mon argent et puisqu’à la longue il ne me suffisait plus, j’ai volé pour jouer !!
    Je suis honteuse de ce que j’ai fait. J’ai perdu la personne que j’aimais à cause de ce mal qui me hante sans arriver à lui faire comprendre que dans cette période de crise, je n’étais comme plus responsable de mes actes. C’est très dur à vivre. Il faut d’abord se dire : « j’ai un problème et j’ai besoin d’aide ». Une fois que c’est fait, il faut regarder tout le mal que j’ai fait et tout ce que j’ai perdu.
    Je n’ai pas un tempérament à faire une dépression mais tout cela m’empêche de vivre correctement, j’y pense constamment, je ne mange plus normalement, je ne dors plus normalement…Je ne sais plus quoi faire. Je vais m’adresser à un psychologue (spécialisé dans les addictions) mais j’ai peur que ce ne soit pas suffisant…

    Tous vos conseils et aides seront les bienvenus!
    Merci d’avance, coeucoeur26106

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