épine calcanéenne

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  • #34232
    Invité
    Participant

    Bonjour à tous,
    J’ai une épine calcanéenne à chaque pied. La première a été traitée avec une injection dans le talon d’une dose d’hydrocortisonne, pratiquée à vif et sans prévenir ! je ne vous explique pas la douleur !
    Ceci dit, après quelques années, je ne la ressens plus.
    La seconde est en pleine évolution à l’heure actuelle et me fait terriblement souffrir. Je me suis juré de ne pas me refaire piquer tellement c’est douloureux.
    Existe-t-il une autre possibilité moins douloureuse et contraignante ? Ceux qui savent pourront m’indiquer ce qu’ils ont fait, tous les renseignements seront les bienvenus.
    @ bientôt Gilbert Z

    #84073
    anonymous
    Participant

    L’épine calcanéenne est une affection rhumatologie que très fréquente. Généralement son évolution se fait spontanément vers la guérison sans que l’on sache exactement pourquoi. Parfois elle est associée à une inflammation de la voûte plantaire et plus précisément de l’aponévrose qui se situe en-dessous du pied.
    Son traitement est délicat. Comme vous avez pu le constater vous-même, les infiltrations sont particulièrement douloureuses car cette zone est très innervée. Quelquefois les gens préfèrent souffrir que de se refaire faire une infiltration.
    Il existe une autre possibilité, plus précisément deux autres possibilités qui sont les suivantes. Tout d’abord il est possible de diminuer l’intensité de la souffrance en positionnant un coussinet en forme de petite cuvettes de toilette en mousse de façon à permettre le centre du talon ou bien la zone où se trouve l’épine calcanéenne de ne pas appuyer sur le fond de la chaussure.
    L’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (ne contenant pas de corticoïdes) donne, selon les individus, de bons résultats. Les corticoïdes (sous forme de comprimés) n’apporte rien de plus.
    La deuxième, qui se pratique de moins en moins, est l’irradiation en utilisant quelques rayons X. très peu intenses sur quelques séances.
    La mésothérapie ne donne pas de bons résultats c’est la raison pour laquelle il ne faut pas la faire.
    L’harpagophytum à haute dose donne quelquefois d’excellents résultats.
    Il faut le répéter, généralement l’épine calcanéenne évolue spontanément vers la guérison. C’est une question de patience.

    #84256
    anonymous
    Participant

    bonjour,j’ai vu votre témoignage sur l’épine calcanéenne,j’en ai moi meme une chaque pieds et la seule chose qui m’ait un peu soulagé c’est une paire de semelles orthopédique avec le talon dans le vide de façon à ne plus appuyé.De plus j’exerce un métier ou la plupart de la journée je pietine ou je suis debout.
    voilà pour mon experience bon courage

    #84281
    dodo
    Participant

    bjr,apres 8 seances accuponcture je ne ressent plus les douleurs que j’avais et cela depuis 8 ans et je t assure ce n’est pas douloureux . quel soulagement.
    bon soulagement jacques

    #91117
    anonymous
    Participant

    je souffre depuis trois mois d’épine calcanéenne sous le talon gauche,deux infiltration de Altim espacées de 20 jours n’ont rien apporté,les semelles non plus,seuls les ains par la bouche semblent etre éfficaces,le voltarène gel ,a brulé la plante du pied la peau s’en va,arrét du traitement,donc un jour sur deux ,deux lodine 200mg en mangeant+ 2 Gramme de paracétamol,tout cela avec prescription de mon rhumatho,<>j’ai 74 ans ,sportif,mais là je suis coincé,pour marcher,en fait je marche lentement,mais pas plus de 2kms ,alors pour m’activer je fais du vélo d’appart,voilà chers calcanéens la situation.bon courage à tous.saluts

    #138401
    moving you
    Participant

    bonjour à tous
    En janvier dernier, j’ai souffert d’une épine dans mon pied gauche. Après avoit fait la radio pour confirmer sa présence, je suis allée chez un rhumatologue qui pratiquait les ondes de choc. Ce fut génial. En deux séances, mon épine avait disparu. Un vrai miracle que j’ai beaucoup apprécié. Seulement, il y a une restriction à cette sorte de soins, il ne faut pas être sous médicaments anticoagulants ou semblabes. En tout cas c’est radical et j’avoue que je n’ai pas regretté les 4 heures de voyage à chaque fois. Cela valait le coup. Courage à tous

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