Home › Forums › Psychologie – Psychiatrie › anti dépresseur sevrage
- Ce sujet contient 5 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par malesopten, le il y a 4 années et 7 mois.
-
AuteurMessages
-
15 janvier 2008 à 21h16 #43604sheytannParticipant
bonsoir
suiteà des deuils et de maladie de mes proches mon medecin a cru bon de me recommander à un psychiatre
j’ai eu droit au DEROXAT pendant 2 ans puis SEROPLEX 3mois que je n’ai pu supporter problème gastro enfin EFFLEXOR 37.5LP 1C par jour puis 2c Mais cela me donne des problèmes gastro digestifs
j’essaie de me sevrer mais je ne sais comment procéder
l’engrenage est vertigineux concernant les anti dépresseurs je pense que 3 ans cela suffit j’ai 54ans et je ne veux pas en prendre pendant 10 ans
d’autant plus que je suis par ailleurs une psychothérapie
comment procéder le sevrage sans que je sois malade comme un chien
j’ai essayé et l’état de manque me donne encore plus de problèmes digestif s
merci de m’aider21 janvier 2008 à 11h36 #109734anonymousParticipantEn ce qui concerne votre dépendance aux antidépresseurs, sachez qu’elle n’est pas irréversible. Ce sont des produits puissants, qui agissent sur le cerveau, mais on peut reprendre le dessus. Comme pour toutes les « drogues », s’arrêter est plus facile à dire qu’à faire. Vous pourriez essayer une méthode très simple, mais qui fonctionne sur pas mal de personnes qui cherchent à « décrocher » des antidépresseurs. Quelle que soit la dose que vous prenez, diminuez-la chaque jour UN TOUT PETIT PEU. S’il s’agit de gouttes, prenez 1 goutte de moins chaque jour. Si ce sont des comprimés, grattez-les avec un couteau pour les réduire de jour en jour. Votre organisme est habitué à « recevoir sa dose ». Vous aurez du mal à l’en priver brutalement. Soyez patiente, croyez-y, et vous obtiendrez des résultats A CONDITION DE VOUS FAIRE RÉELLEMENT AIDER PAR UN THÉRAPEUTE DIGNE DE CE NOM. N’hésitez pas à en changer si vous n’êtes pas satisfaite de son écoute, de son implication.
Tenez-nous au courant, et ne perdez pas espoir.22 janvier 2008 à 11h16 #109796sheytannParticipantMerci Dom Pour Votre Reponse
Je Trouve Que Les Medecins Generalistes Et Certains Psy Prescrivent Des Anti Depresseurs Comme Des Bonbons
Quand On Commence A Dire Que Malgre Le Traitement Y A Toujours Deprime On Double Ou Renforce La Dose
J’avais Une Psy Sur Cavaillon Dans Le Vaucluse Avec Qui J’etais En Therapie Pour Des Problemes Professionnels
Qui Se Refusait A Ce Marchandage Medicamenteux.
Elle A Pris Sa Retraite En Israel Malheureusement Pour Ses Patients
Mais Je Tiens A Lui Temoigner Ma Reconnaissance Pour Son Intelligence ProfessionnelleMerci Madame Docteur Clara Levy
23 janvier 2008 à 8h38 #109853lilikimParticipantbonjour
Nous sommes tous diffèrent face au sevrage des psychotrope, certains n’auront rien tandis que d’autres auront de grande difficulté physique et des symptômes de manque.
Pour le sevrage lent la méthode par la titration dans de l’eau ou du jus d’orange est employé avec succès par certain.Cette méthode et d’autres infos sont à cette adresse :
antidépresseur
http://cid-c74a0cfabf3a4232.spaces.live.com/Ce sevrage peut être judicieux car :
Le pouvoir des antidépresseurs remis en cause
Catherine Petitnicolas
21/01/2008
Selon une étude américaine, les publications scientifiques sur les nouveaux psychotropes exagèrent leur action.
C’est un pavé dans la mare. L’efficacité des nouveaux antidépresseurs mis sur le marché depuis le milieu des années 1980, avec pour chef de file la fluoxétine (alias Prozac), est mise en doute par des experts américains de la FDA, la toute puissante agence américaine du médicament. Une étude du New England Journal of Medicine démontre que des publications ont exagéré l’efficacité de ces médicaments parés de toutes les vertus par les laboratoires, les médecins et même les malades.Le Dr Erick Turner, psychiatreet pharmacologue (université de l’Oregon) et son équipe ont passé en revue 74 essais cliniques ayant inclus 12 564 patients. Ces études, toutes soumises à la FDA, ont concerné 12 nouveaux antidépresseurs très largement prescrits entre 1981 et 2004.
Les résultats de cette analyse sont révélateurs. Selon les données publiées dans les revues scientifiques, 94 % des médicaments testés avaient des effets positifs. Mais, pour la FDA, juge beaucoup plus sourcilleux, seule la moitié des études soumises à sa sagacité était dans ce cas.
Dans l’autre moitié, les médicaments n’avaient pas l’effet escompté. De surcroît, si toutes les études positives, sauf une, ont donné lieu à publication dans la littérature scientifique, celles qui étaient négatives (33 sur 36 ayant enrôlé 5 212 patients) sont restées dans les tiroirs de la FDA. Ou, pis, elles ont été «maquillées» pour leur donner un aspect positif, contraire au verdict de la FDA. «Des publications sélectives peuvent conduire les médecins et les patients à croire que ces médicaments sont plus efficaces qu’ils ne le sont vraiment, un résultat susceptible d’influencer les prescriptions», constate le Dr Turner, qui a été durant trois ans conseiller expert à la FDA pour les médicaments psychotropes, dont les antidépresseurs.
ect …
bons courage.
27 mars 2014 à 0h21 #166453lulu38ParticipantBonjour à tous,
Pourriez-vous me donner votre avis car concernant le sevrage je ne sais plus comment m’en sortir.J’ai toujours été anxieuse sans savoir pourquoi , je pouvais gérer cette situation car je faisais beaucoup de sport. Jusqu’à ce que je me fasse opérer d’un syndrome des loges. Et suite à cette événement, j’ai commencé à me sentir mal. A vrai dire, j’ai vraiment eu du mal à me concentrer lors de mes études;j’ai eu ma première attaque de panique à 20 ans .Ensuite, cela m’a vraiment embêté dans mon travail, avec quelques arrêts maladie à la clé plus des anxiolytiques. C’est à l’âge de 26 ans qu’un médecin généraliste m’a prescrit des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Depuis tous mes sevrages se soldent par un échec, même si l’arrêt est on ne peut plus surveillé et progressif. Les symptômes sont nombreux; attaques de panique quotidiennes, douleurs inflammatoires, nausées, tristesse, replis sur soi, grosse fatigue , essoufflements,..Pour info, je suis suivie par un psychiatre depuis ma grossesse car je ne pouvais prendre qu’un dosage minimum ( je n’ai même pas pu en profiter tellement j’étais mal, je pleurais sans cesse!). J’ai un mari et un fils formidables, j’ai peur de devoir prendre DIVARIUS ad vitam æternam car je ne peux gérer le quotidien à cause de ces symptômes! Y aurait-il un moyen, disons plus naturel de contrecarrer ces symptômes de sevrage? Merci14 août 2019 à 9h32 #186128malesoptenParticipantAchetez vos médicaments sans ordonnance sur internet en toute sécurité ! – http://www.eumedicines.com/ livre vos médicaments partout en France.
-
AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.