Bras

Définition

Définition

Pour certains, le bras est le segment du membre supérieur compris entre l’épaule et le coude, pour d’autres membre supérieur en entier. Anatomiquement, le membre supérieur comprend quatre segments :1 – La ceinture scapulaire (épaule) dont le squelette est constitué par l’omoplate et les clavicules.2 – Le bras (portion reliant l’épaule au coude) dont le squelette comprend l’humérus.3 – L’avant-bras qui relie le coude au poignet et dont le squelette est constitué par le cubitus et le radius.4 – La main qui représente le prolongement (distal) de l’avant-bras et dont le squelette comprend le carpe (poignet), le métacarpe (paume de la main), le dos de la main et les doigts (pouce compris).

Généralités

Exemple de terminologie médicale se rapportant au bras Le terme brachial (terme issu du grec brakhiôn : bras) désigne tout ce qui se rapporte au bras.La brachialgie ou brachionalgie (terme issu de brakhiôn : bras et algos : douleur) désigne les douleurs dues à une névralgie du plexus brachial. La brachialgie est une sorte de « sciatique » du bras.L’abrachie (terme issu du grec a : privatif et brakhiôn : bras, en anglais abrachia) correspond à l’absence congénitale des bras.La brachiotomie correspond à la désarticulation de l’épaule au cours de l’accouchement difficile (dystocie) pour extraire le fœtus.

Symptômes

Physiologie

La différence essentielle qui existe entre les membres supérieurs et les membres inférieurs est l’absence de support du poids (du corps) pour les premiers. La stabilité des membres supérieurs a été sacrifiée au bénéfice de sa mobilité. En effet, les doigts, particulièrement mobiles, permettent la préhension à la fois fine et relativement puissante.Le plexus correspond à l’entrecroisement des nerfs et des vaisseaux. C’est ainsi que l’on parle de plexus brachial, et de névralgie du plexus cervicobrachial. De grande dimension, le plexus brachial est situé en partie dans le cou et en partie dans l’aisselle (région située au-dessous de la jonction du bras avec le tronc). Il regroupe la presque la totalité des nerfs qui desservent les membres supérieurs et on peut le palper juste au-dessus de la clavicule en glissant les doigts en dessous du muscle sterno-cléido-mastoïdien (muscle situé sur la face latérale du cou s’insérant d’une part sur la mastoïde à la face latérale du crâne et sur le sternum et la clavicule). Les lésions du plexus brachial sont assez fréquentes. Les plus graves entraînent une faiblesse ou la paralysie de tout le membre supérieur, la lésion étant généralement causée par un étirement ou par une rétraction du bras (placage au rugby entre autres). Ce peut être également un écrasement qui est le produit d’un traumatisme direct sur le dessus de l’épaule et qui a pour résultat de pousser l’humérus (os du bras venant s’articuler dans l’omoplate) vers le bas. C’est le cas par exemple d’un motocycliste qui est projeté la tête la première sur le sol et dont l’épaule percute la route.Superficiellement, le bras est recouvert par la peau qui constitue une enveloppe recouvrant et contenant des filets nerveux qui permettent la sensibilité de celle-ci. C’est enveloppe comporte également des veines superficielles (permettant les intraveineuses) qui sont : La veine basilique à la face interne du bras La veine céphalique sur la face externeCes 2 veines se rejoignent pour former la veine axillaire qui permet l’exploration de la veine cave supérieure et des cavités du cœur grâce à la mise en place d’un cathéter veineux.L’humérus est l’os du bras d’où se détache 2 cloisons intermusculaires : une externe et une interne. Elles proviennent de l’aponévrose brachiale et délimitent 2 régions appelées loges : La loge antérieure contient superficiellement le biceps et plus profondément le muscle coraco-brachial ainsi que le muscle brachial antérieur. L’artère humérale passe entre les deux couches et est accompagnée dans son trajet par les veines satellites, le nerf médian, le nerf musculocutané ainsi que le nerf cubital.La loge postérieure contient le muscle triceps brachial, la partie haute du triceps avec le nerf circonflexe (permettant l’innervation du muscle deltoïde). En profondeur se trouve l’artère humérale profonde et le nerf radial à la face postérieure de l’humérus.Les principaux muscles et tendons du bras sont:À la face antérieure :

  • Le deltoïde qui recouvre l’épaule
  • Le grand pectoral à la face supérieure et externe du thorax
  • Le brachial antérieur à la face externe du biceps
  • La longue portion du triceps à la face interne du biceps
  • Le biceps brachial (biceps proprement dit)
  • Le faisceau moyen du triceps (entre le coude et le triceps)
  • Le tendon du biceps brachial (entre le biceps et le coude)
  • À la face postérieure

  • Le deltoïde qui recouvre l’épaule en arrière
  • Le vaste externe du triceps (en arrière et à la partie externe du biceps)
  • La longue portion du triceps (en arrière du biceps)
  • Le brachial antérieur
  • Le tendon du triceps brachial (entre le triceps et le coude)
  • Le vaste interne du triceps (à la partie interne du triceps)
  • Physiopathologie

    Les paralysies obstétricales du plexus brachial. Il s’agit de séquelles d’accouchement accompagnées de traumatisme ayant entraîné un abaissement brutal du moignon de l’épaule à l’origine d’une lésion du plexus brachial.La périarthrite scapulohumérale est un type de rhumatisme se situant à l’extérieur de l’articulation de l’épaule et atteignant l’ensemble des tissus musculaires et tendineux qui entourent cette articulation. La périartérite scapulohumérale est un type de rhumatisme se situant à l’extérieur de l’articulation de l’épaule et atteignant l’ensemble des tissus musculaires et tendineux qui entourent cette articulation. Cette affection est parfois due à une inflammation des tendons de la coiffe des rotateurs de l’épaule constituée par les plans musculaires et tendineux. Une bursite (inflammation de la bourse permettant le glissement des différents plans musculaires les uns sur les autres) peut également être à l’origine de cette pathologie. Les bourses concernées sont la bourse séreuse sous-acromiodeltoïdienne (espace de glissement entre le muscle deltoïde et l’acromion qui est l’apophyse de l’omoplate s’articulant avec l’extrémité externe de la clavicule) et la coiffe des rotateurs.Une arthrose des vertèbres cervicales (cervicarthrose) entraîne quelquefois des névralgies (douleurs d’origine nerveuse) dans le cou et le bras.La fracture de la clavicule survient relativement souvent soit après une chute directe sur l’épaule elle-même, soit après fragilisation de celle-ci (ostéoporose entre autres). La partie la moins résistante de la clavicule se situe à la rencontre de son tiers externe et de son tiers moyen. D’autres pathologies sont susceptibles d’intéresser la clavicule : il peut s’agir entre autres d’une ossification anormale.La fracture de l’humérus touche le plus souvent la personne âgée généralement déminéralisée et intéresse plus spécifiquement le col de l’humérus. Les fractures transversales du corps, c’est-à-dire de l’humérus proprement dit et situées en quelque sorte au milieu de celui-ci, sont généralement la conséquence d’un choc direct sur le bras (coup de matraque violent). D’autres fractures de l’humérus se caractérisent par un embrochement dans l’os spongieux (la partie molle constituant l’intérieur de l’os), c’est-à-dire un fragment qui pénètre dans l’autre fragment. On parle de fractures par impaction. Le plus souvent, il s’agit de chute sur le bras et l’avant-bras tendu. On décrit également des fractures par arrachement du tubercule majeur ou trochiter. Différentes variétés de fractures sont susceptibles de survenir au niveau de l’humérus.Les fractures du radius et du cubitus sont généralement le résultat d’un traumatisme violent. Etant donné la relation étroite qui existe entre ces deux os par l’intermédiaire de la membrane interosseuse, une fracture de l’un entraîne une luxation (entre autres) de l’autre et inversement. La fracture de l’extrémité distale du radius, c’est-à-dire intéressant le poignet, est la facture la plus fréquente chez l’adulte de plus de 50 ans. Généralement, elle survient chez la femme étant donné la nature de son squelette qui est fragilisé par l’ostéoporose à partir d’un certain âge. La fracture de Pouteau-Colles est la fracture la plus courante de l’avant-bras. Ce type de fracture est le résultat d’une flexion dorsale, c’est-à-dire quand le patient essaie de se rattraper, au moment de sa chute, en mettant une main devant lui à plat de manière violente.La fracture de l’os scaphoïde qui est un des os du carpe est la fracture la plus fréquente du poignet. Cette variété de fracture survient essentiellement quand le patient chute sur la paume de la main lorsque celle-ci est en abduction c’est-à-dire que la pomme de la main regarde le sol. Une douleur apparaît à la face externe correspondant à la zone du radius au niveau du poignet surtout lors des mouvements de flexion dorsale de la main, c’est-à-dire quand le patient relève la main. La cicatrisation de cet os est plus difficile que pour les autres os du bras. Parfois, le diagnostic n’est pas fait immédiatement mais seulement quelques jours plus tard. Dans certains cas, il est nécessaire de pratiquer ce que l’on appelle une arthrodèse, c’est-à-dire une soudure chirurgicale des os du carpe.La fracture du boxeur est en fait une fracture du col des premiers et des deuxièmes métacarpiens, c’est-à-dire des zones fragilisées des os de la paume de la main.La fracture d’une phalange se voit quelquefois et fait suite à un écrasement.Les adénopathies axillaires (de l’aisselle) représentent une augmentation de volume des ganglions lymphatiquse (adénopathies) à l’occasion d’une affection du membre supérieur entre autres. L’inflammation des ganglions ou lymphangite survient à l’occasion d’une affection de la main également. La lymphangite se caractérise par la présence de traînées rouges sur la peau qui apparaît chaude et sensible. Cette pathologie peut également provenir d’une affection d’une partie haute de l’abdomen. Certains cancers situés au sommet du thorax peuvent être à l’origine de cette affection.La tendinite du biceps est liée à des microtraumatismes ou à la répétition d’un geste. L’inflammation du tendon qui en découle entraîne une tendinite biciptale qui est également courante chez les sportifs de jet (base-ball, lancer du poids, du javelot, cricket, etc…). Le tennis est aussi un grand pourvoyeur de tendinite biciptale. D’autre part, le sillon dans lequel glisse le tendon biciptal est quelquefois endommagé, trop étroit ou rugueux, il finit par irriter et enflammer le tendon, provoquant ainsi douleurs et quelquefois, à l’auscultation, un crépitement pour qui sait écouter l’articulation qui se plaint.La luxation d’une partie du muscle biceps, à savoir le chef long, en dehors de la gouttière biciptale de l’humérus où le tendon biciptal glisse habituellement, est plus rare.Le syndrome du canal carpien correspond à une compression d’un nerf du bras : le nerf médian, ayant lieu au niveau du canal carpien constitué par les os du carpe (poignet) et pouvant entraîner une paralysie des doigts. Le canal carpien touche essentiellement la femme pendant la grossesse et à la ménopause mais également les individus des deux sexes de tous âges (moins fréquemment). Il se caractérise par un engourdissement des doigts essentiellement la nuit ou le matin au réveil Les lésions du nerf médian, qui est un nerf relativement superficiel, se voient essentiellement au cours des tentatives de suicide par section des veines du poignet. Le résultat est généralement une paralysie des muscles (ceux permettant de mobiliser le pouce et le petit doigt). La lésion du nerf médian touche également les nerfs lombricaux entraînant une impossibilité d’opposition (impossibilité de se faire toucher les extrémités des doigts opposés) du pouce et une perturbation des mouvements fins des deuxième et troisième doigts (main de singe). D’autre part, la sensibilité est abolie au niveau du pouce, de l’index, de la moitié latérale de l’annulaire et du médius. D’autres traumatismes touchant le nerf médian sont également possibles. Il peut s’agir d’une blessure du coude (perforation) entraînant une impossibilité de fléchir les articulations situées entre les phalanges des deuxième et troisième doigts.Les lésions du nerf ulnaire (cubital) sont provoquées généralement à la suite d’un traumatisme direct sur l’épicondyle (partie osseuse du coude) provoquant une fracture de celui-ci. D’autre lésions du nerf cubital sont possibles : il peut s’agir d’une compression au niveau du coude pendant le sommeil. Chez certains ouvriers qui appuient leur coude sur une surface dure entraînant une inflammation de ce nerf, cette pathologie est reconnue comme maladie professionnelle. Les patients souffrant de ce type d’affection ont le plus souvent des difficultés à fermer le poing en raison de la paralysie de la plupart des muscles que l’on appelle intrinsèques de la main.Les lésions du nerf radial entraînent une incapacité importante de la main alors que ce nerf n’innerve aucun muscle de celle-ci. Généralement, le patient est dans l’impossibilité d’étendre le poignet en raison de la paralysie des muscles extenseurs de l’avant-bras. On parle de main en col de cygne.Le phénomène de Raynaud se caractérise par une perturbation de la circulation artérielle des mains et plus précisément des doigts. Quand elles sont soumises au froid, les artères se « ferment », c’est-à-dire que leur diamètre diminue, entraînant une chute de la vascularisation à ce niveau. En terme médical, on parle d’une ischémie digitale paroxystique qui se manifeste par l’apparition successive d’épisodes de pâleur et de cyanose (coloration tirant sur le bleu gris et traduisant un manque d’oxygène dans les doigts). Une coloration rouge vif associée à une douleur des doigts concernés peut être provoquée par un réchauffement trop brutal ou un stress émotionnel interrompant l’arrivée du sang. La localisation de ce phénomène se limite parfois à deux ou trois doigts de chaque main. On estime que le phénomène de Raynaud touche 10 % de la population générale. La tendinite calcifiante des muscles du sus-épineux, appelée bursite scapulohumérale calcifiante, se caractérise par un dépôt de calcium pouvant entraîner des douleurs susceptibles d’irradier jusque dans la main.La lésion de la coiffe des rotateurs survient à l’occasion d’une utilisation à répétition du membre supérieur quand celui-ci est constamment mis en position horizontale élevée. Une des étiologies (causes) de déchirure de la coiffe des rotateurs est l’inflammation récidivante due à un usage répétitif des muscles (chez certains sportifs). L’inflammation qui en découle peut-être à l’origine d’une dégénérescence et d’une rupture de cette coiffe.La luxation de l’articulation scapulohumérale survient à l’occasion d’un traumatisme direct et quelquefois indirect. Généralement, la luxation de la tête de l’humérus se fait vers le bas. La luxation en avant (antérieure) de l’articulation scapulohumérale se produit le plus souvent chez le jeune et plus spécifiquement chez le sportif.La lésion du nerf axillaire survient par le déplacement en dessous de la glénoïdale de la tête de l’humérus dans l’espace axillaire, entraînant une paralysie du muscle deltoïde et l’abolition de la sensibilité dans une petite zone de la peau assez niveau.La capsule rétractile de l’articulation scapulohumérale (épaule) que l’on appelle épaule gelée provient d’une diminution d’élasticité des tissus et tout particulièrement de l’enveloppe qui est constituée par cette capsule qui s’est enflammée. Le patient a du mal à porter son bras en dedans mais surtout en dehors.Le pseudolipome correspond à une petite quantité de graisse qui se situe généralement dans la fosse sus-claviculaire (au-dessus de la clavicule) procédant alors à son remplissage. Cette sorte de lipome est susceptible de comprimer le plexus brachial et les vaisseaux à cet endroit. il est nécessaire de vérifier la présence d’un tel lipome de l’autre côté car les pseudolipomes sont le plus souvent symétriques.L’hygroma du coude est une variété d’inflammation des bourses séreuses situées superficiellement au niveau du coude et recouvrant la saillie osseuse de cette articulation. L’hygroma se voit tout spécialement dans certaines professions particulièrement exposées à des frottements durs au niveau des surfaces articulaires comme les genoux, les épaules et même les moignons des amputés.La luxation de l’articulation du coude survient le plus souvent chez un enfant qui a fait une chute sur la main alors qu’il avait le coude fléchi. La radio montre l’extrémité de l’humérus qui est avancé par rapport à la tête du radius et du cubitus. Quelquefois, on observe une fracture associée de la tête du radius et de l’olécrane qui est la partie renflée du coude (pointe du coude). Une lésion du nerf ulnaire (cubital) est possible, à l’origine d’engourdissement du petit doigt et d’une faiblesse des muscles qui affectent les mouvements permettant la flexion (plier) puis l’adduction (ramener le poignet vers l’intérieur) du poignet.La maladie de Kienböck est une maladie appelée également ostéonécrose (destruction de l’os) qui touche le semi-lunaire de l’un des os de la première rangée du carpe constituant le poignet. Le semi-lunaire est situé entre le scaphoïde et le pyramidal. L’interruption de la circulation sanguine (entraînant ce que l’on appelle un infarctus) est la cause de sa destruction. L’entorse du skieur (articulation métacarpophalangienne du pouce) entraîne une rupture du ligament collatéral ulnaire de l’articulation entre le pouce et le poignet. Quelquefois, on constate également une fracture avec un arrachement de la partie latérale de la base de la phalange située à la racine du pouce. Le plus souvent, cette lésion survient à l’occasion d’une hyper-abduction de cette articulation. Autrement dit, l’individu chute sur son pouce poussant celui-ci en direction du dos de la main.Citons également sans les détailler :

  • Le syndrome de CHristiansen-Silverstein DejerineKlumpke
  • Le syndrome de Aran-Duchenne dû à une atteinte du plexus brachial
  • La maladie de Parry et Romberg
  • La maladie de Romberg appelée également névralgie amyotrophiante de l’épaule, syndrome de la ceinture scapulaire, radiculalgie brachiale aiguë.
  • Le syndrome de la paralysie de Duchenne-Erb
  • Le syndrome de Havresac de Bourrel correspondant à une paralysie du plexus brachial due à un mauvais port du sac à dos entre autres.
  • Le syndrome de la traversée thoraco-brachiale ou syndrome du scalène antérieur
  • Le syndrome de Remak appelé également paralysie radiculaire moyenne du plexus brachial
  • Le syndrome de la sous clavière voleuse
  • Examen médical

    Examen physique

    Le bras est positionné dans l’espace, la main derrière la tête, devant le front, dans le dos, la paume de la main regardant vers l’arrière, bras tendu à la verticale, la main en direction du plafond, etc…Le signe de Lasègue du bras de Roger et Rathelot consiste à provoquer une douleur à type de cervico-brachialite. L’examinateur met le bras du patient en abduction horizontale (il écarte le bras du tronc, à l’horizontale), puis en rétropulsion (pousse sur l’arrière du bras vers l’avant) et en supination forcée (la paume de la main étant tournée vers le dessus).L’examinateur procède également à un examen neurologique en vérifiant la bonne mobilité des doigts, la force de ceux-ci, si l’ensemble des territoires cutanés du bras sont sensibles à la douleur, s’il existe des différences de température, si le patient est sensible aux sensations douloureuses plus ou moins fortes etc. Au cours de cet examen neurologique, plusieurs réflexes peuvent être explorés : le réflexe bicipital (en anglais : biceps reflex), la flexion de l’avant-bras provoquée par la percussion du tendon du biceps brachial. Le réflexe olécranien (appelé également réflexe tricipital) correspond à l’extension (l’allongement de l’avant-bras) provoquée par la percussion du tendon du triceps brachial.L’examen doit permettre de s’orienter vers un des diagnostics cités ci-après concernant une affection du bras.

    Traitement

    Traitement

    Il dépend de la pathologie en cause.

    Termes et Articles associés