Iode (I) : Évolution
Evolution de la maladie
L'évolution d'une intoxication par l'iode se fait parfois vers l'apparition de séquelles de l'oesophage à type de constrictions, c'est-à-dire de resserrement de celui-ci (constriction oesophagienne).
L'évolution d'une intoxication par l'iode se fait parfois vers l'apparition de séquelles de l'oesophage à type de constrictions, c'est-à-dire de resserrement de celui-ci (constriction oesophagienne).
2 commentaires pour "Iode (I)"
Cet article est intéressant mais je suis sceptique quant aux doses toxiques mentionnées, qui viennent contredire une étude scientifique réalisée aux États-unis en 2007 par les Drs Abraham, Brownstein et Flechas.
En effet ces docteurs avancent le fait que 95% de la population mondiale sont carencés en iode et que les AJR proposés par toutes les institutions médicales mondiales, dont l'OMS, sont très en-deçà des doses réellement nécessaires pour lutter contre l'hypo ou hyperthyroïdie, le cancer, le retard mental du nourrisson et l'intoxication aux métaux lourds.
Ces Drs proposent ainsi une dose quotidienne d'entretien de 12 mg/j, et en phase de cure détoxication entre 50 et 100 mg/j pendant 3 semaines.
Comment expliquez-vous ces différences ?
D'autre part, vos informations concernant les allergies liées à l'iode, sont tout simplement fausses.
En effet, il existe aujourd'hui divers type de cas amenant certaines personnes à soupçonner une allergie à l'iode.
Certaines personnes peuvent être allergiques à certains produits contenant de l'iode, comme par exemple au produit contrastant injecté pour des examens de radiologie ou encore certains fruits de mer. Il s'est donc répandu l'idée que l'on pouvait être allergique à l'iode. Ceci est parfaitement impossible. Les produits susceptibles d'induire une "allergie à l'iode" contiennent tous de l'iode, mais ce sont des substances différentes qui interviennent dans le cas de l'allergie.
Pour la Bétadine, c'est la povidone iodée (le véhicule de l'iode) qui est responsable, pour les produits de contraste iodés, l'osmolalité est mise en cause, et pour les produits de la mer (poissons et crustacés) ce sont des protéines musculaires. Il n'existe donc aucune réaction croisée ni de facteurs de risques. De plus, il n'y a aucune allergie rapportée dans le cas d'utilisation de solution alcoolique ou aqueuse d'iode (solution de Lugol, teinture d'iode, ...).
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