trouble bipolaire 2

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11 sujets de 1 à 11 (sur un total de 11)
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    Messages
  • #36883
    nikolo
    Participant

    je suis donc traité par un regulateur d’humeur,evidement comme le non l’indique je me sens plus calme et moins en proie a ces actes incotrolées mais je me pose une question car lorsque je fais le compte de ce que j’ai etablie pandent ces fases ,jammais je n’aurais pu le faire si vite et avec tant d’obstination que lorsque j’etais dans mon etat maniaque.En fait je croie que j’ai un peu peur, a la longue(bien que se qui me rassure c’est d’esperé etre protegé de mes depretion alcoolique)de ne plus etre moi meme cette individu capable de deplacer des montagnes,d’aimer passionnement ….. en fin vous voyer quoi! alors j’aimerai en plus de lire mes messags que vous me repondiez.Qu’entraine la prise a long therme de DEPACOTE.Sur tous les points car j’ai lu le Vidal mais rien ne vaut l’avie des perssonnes consernées.Je saurais de moi meme faire la part des choses et si une personne habite grenoble et ses environt qu’elle aille sur mon mail.

    #90372
    parker
    Participant

    j’étais aussi sous dépacote
    mais je ne sentais pas de différence
    en fait il semblerait que mes symptomes étaient accentués par mon mode de vie: je travaillais en restauration donc mangeai quand j’avais le temps et sortais en boite ou en pub après mon service, du coup j’étais tout le temps en décallage et dès que je rentrais chez moi je me sentais seule et je déprimais. Du coup j’ai interrompu mon traitement sans le dire à mon médecin. Quand il a trouvé que j’allais mieux, c’était en fait parce que j’avais un nouveau mec, qui était cool. Mais maintenant , je n’ai plus de mec, plus de médoc, et plus ma vie trépidante: j’ai quitté mon boulo, je vis avec ma grand mère donc je ne sors plus quand je veux et me sens terriblement seule, et surtout, je gagne bien moins bien ma vie, donc même si je le voulais je ne pourrais pas sortir comme avant. Je tiens à préciser que je buvais rarement , même si effectivement je passais me vie en boite ou en pub et autre bar. c’éatit juste pour pas me sentir seule. J’y ai rencontré beaucoup de gens, sauf que mon mec m’a quittée, j’ai déménagé pour pas croiser ses potes partout où j’allais. Donc j’ai plus de sous pour sortir et je fais un boulo peu interessant, du cou je ne rencontre absolument personne et donc je me sens terriblement seule. Je mle retrouve à avoir envi de parler à deux heures du mat, et bien sûr, personne ne décroche. Mon meilleur ami est malheureux parce que je suis très froide, et le seul moment où je le laisse être tendre avec moi, c’est quand j’ai 39 de fièvreJ’envisage de consulter à nouveau

    #90481
    Emy
    Participant

    Précision sup je suis aussi sous dépakote 2 par jours depuis presque 2 ans. je ne connait pas les conséquences à long terme mais je pense que s’il est nécessaire d’en prendre (même à vie) pour se sentir mieux alors il faut le faire !!!!
    De mon côté je pense que ce cachet à fait changer un peu les choses chez moi !!!
    Donc voilà à bientôt
    Emy

    #90666
    nikolo
    Participant

    je suis deja content que l’ont m’est repondu mais j’aimerais rescensser le plus d’histoire auquelle par bribes je pourais essayer de me comprendre un peut plus et peut-etre etre capable d’associer differant comportement de personne pour les aider tout betement.Tout en sachant que pour l’instant j’ai deja du mel a m’aider moi meme.Cette solitude me fait peur pourtant je pourais sortir,mais les risque son peut etre encore trop grand ou pas assai pour que je m’en appercoive.En fait je peut passer d’une confience en moi extreme a la peur.(?)

    #90818
    nikolo
    Participant

    reguler ces humeurs equivaut pour moi a decouvrir nombre de nouveaux sentiments.Certains gerables sans le moindre problemes,cpadat ceux qui est plus dur c’est de ne plus avoir ces decharges d’adrenaline comme si la vie etait dans la dite normalité:enuyeuse.De plus mes deprime presente sont netement moins marquées se qui paradoxalement me fait tres peur.J’ai l’impretion à 30 ans d’apprendre des sentiments qui sont aquis ou aprehandé dans la petit enfance,soit dans un univers relativement protegé.Ce qui n’est pas le cas ici.

    #91134
    nikolo
    Participant

    peut-etre n’ai je pas tout a fait compris le principe de ce forum mais depuis mon dernier message du 30/01,je n’ai plus de contact ni avec ede nouvelle personne ni avec les 2 internautes qui m’ont repondu.
    QUE FAIRE?

    #92414
    kara
    Participant

    Nikolo
    tu es typiquement un bipolaire, iln’ya pas de rémission sans traitement.
    TOUS LES MEDICAMANTS ONT UN EFFET SECONDAIRE QUI VARie d’un individu à l’autre.
    Si tu veux comprendre ta maladie il y a un livre que je te conseille écrit par un BP et un psy, tu t’y retrouveras surement
    Vivre avec des hauts et des bas du Dr Gay édition pocket
    tu peux le trouver sur le site amazon
    amicalement et bon courage
    kara

    #92553
    anonymous
    Participant

    Bonjour à tous,

    je viens vers vous pour avoir des conseils par rapport à ma soeur qui, je pense, souffre de troubles bipolaires.
    Pour résumer, elle a connu une grosse dépression à l’âge de 15 ans dont on ignore l’origine, mes parents et moi, mais assez violente puisqu’elle parlait de se suicider. Elle a été suivie par un psy pendant quelques mois puis ça a passé. De là, son instabilité s’est installée petit à petit avec des troubles de l’humeur très fréquents, beaucoup d’agressivité et d’incohérences,et un débit de paroles très important. Elle a en même temps développé beaucoup de déséquilibres dans ses relations avec ses partenaires (hommes mariés, etc…). Bref, elle a accumulé pas mal de conquêtes et de bêtises en tout genre.
    Il y a 3 ans, lorque je me suis mise en couple, elle n’a pas supporté et a recommencé un épisode dépressif. D’ailleurs elle n’ a jamais supporté que ses amis m’apprécient même si c’est elle qui m’invitait à leurs soirées, etc… A partir de là, j’ai compris un certain mal être chez elle par rapport à moi, qui s’est traduit en véritable méchanceté. J’ai bien essayé de lui dire de retourner se faire soigner, mais impossible. Un an après ce gros conflit ,elle a enfin eu un déclic et après avoir longuement parlé, on est reparti à zéro. Mais la trève n’aura duré que quelques mois puisqu’elle s’est mise en couple avec le mari d’une de ses collègues, qui l’a rejointe en quittant sa femme enceinte !!(situation inacceptable pour ma famille et moi).
    Depuis, c’est l’incompréhension totale. Elle ne se remet pas du tout en question sur la moralité de son histoire, et trouve même qu’elle n’a rien à se reprocher.
    Bref, le dialoque est complètement bouché et elle rejette une fois de plus tout son mal être sur moi en disant que je suis envieuse de son bonheur, aigrie, etc…et si mes parents n’acceptent pas non plus sa situation c’est ma faute puisque c’est moi qui les manipule !!!
    Autant vous dire que je suiscomplètement désemparéé face à tout ça, et que je ne sais plus quoi faire pou lui faire entendre raison. Et je ne comprends pas non plus toute cette haine à mon égard.
    Voilà le résumé de l’histoire. Je ne pense pas me tromper en disant de ma soeur qu’elle est maniaco-dépressive(avec des phases euphoriques et d’autres négatives), mais elle se refuse à retourner voir un psy. Quelle solution puis-je trouver?
    Merci de m’avoir lu et bon courage à tous ceux qui endurent cette terrible épreuve

    #115006
    Gef007
    Participant

    Petite approche de la bipolarité

    Bibliographie :

    LES TROUBLES BIPOLAIRES. Dr F.KOCHMAN. Dr J.A. MEYNARD
    Edition SANTE a.COM

    VIVRE AVEC DES HAUTS ET DES BAS. Dr C. GAY, J.A.GENERMOND. HACHETTE.

    EL PSYQUIATRA.N°2 2003. Intreview du Dr Eduard Vieta

    ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALIS 1997.

    DICTIONNAIRE LAROUSSE 2004.

    Nom : Maniaco-dépression ou troubles bipolaires.

    Altération grave de la personnalité. Le couperet est tombé.

    Oscillation de l’humeur entre la dépression invalidante et la manie destructrice, mais heureusement il y a les « espaces libres » .

    1)Dépression

    « La phase dépressive amène les tendances suicidaires, l’incapacité de prendre en charge des rythmes quotidiens. Cet épisode est également qualifié d’Episode Dépressif Majeur selon les données médicales actuelles. » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 18)

    « Elle n’a que de très lointains rapports avec les phases de déprime que nous traverserons tous à certains moments.
    Elle correspond sans aucun doute à une véritable maladie qui engendre des conséquences graves, potentiellement dommageables dans la vie quotidienne, familiale, sociale, professionnelle ». (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 18)

    Ainsi, une personne dépressive perd ses capacités de mémoire, d’attention, de concentration, et devient peu à peu incapable de poursuivre normalement ses activités étudiantes, professionnelles et familiales. La perte du goût de la vie en général entrave fortement sa vie sociale, relationnelle » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 18)

    « Lorsque survient la phase d’état, le cœur de la dépression, les fonctions intellectuelles subissent des perturbations : l’attention devient fluctuante, la concentration difficile, voire impossible, la compréhension limitée, le raisonnement entravé, la mémoire inopérante… On est incapable de se concentrer sur un film, un livre, d’autant plus qu’on a perdu tout intérêt pour ce type d’activité…Parfois, on se reproche cet état d’indifférence si mal vécue par les proches, cette anesthésie affective douloureuse. …» (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 98/99).

    « La fin de manie s’accompagne souvent d’un état de mal-être, de fébrilité, d’angoisse et d’une culpabilisation (dépression, suicide) » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 103).

    C’est à ce moment qu’apparaît le mensonge comme une fuite en avant qui va donner une explication aux agissements de la phase maniaque.
    Le sujet cherche à donner une dimension sociale à son comportement.
    Il lui faut s’expliquer à plusieurs niveaux : famille, amis, emploi du temps, dépenses etc.

    « De plus en plus souvent, la tristesse est rarement exprimée et tend à être remplacée par un autre langage exprimant la souffrance psychique : le corps ou ce qu’on appelle les somatisations c’est-à-dire les douleurs et autres souffrances du corps peuvent révéler une maladie telle que la dépression. » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 19)

    Parfois, c’est une agressivité, un caractère de plus en plus irritable chez le patient déprimé, devenu hypersensible à la moindre émotion, au moindre stress.

    Le signe principal de la dépression n’est donc pas forcément la tristesse, comme nous avons tous tendance à le croire, mais la perte du tonus, de l’élan vital, avec émoussement puis perte de tous les plaisirs de la vie, qu’ils soient d’ordre gastronomique, sexuel, familial ou amical.

    « De manière quasi-systématique, une personne prise en charge en raison d’une dépression rencontre dans son entourage un ou plusieurs individus qui remettront en cause son diagnostic et son traitement « Tu n’as rien, ne crois pas ces docteurs », « Secoue-toi un peu », « c’est juste de la fainéantise »… « Ne commence pas avec les tranquillisants : ce sont des drogues et tu ne pourras plus t’arrêter », « Jette tous ces médicaments et soigne-toi toi-même ». Ces idées si courantes peuvent avoir un effet néfaste voire catastrophique… Viendrait-il à l’idée de conseiller à un patient diabétique d’arrêter son traitement et de se prendre en charge seul ». (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 11)

    « La personne déprimée va naturellement avoir tendance à se mettre en retrait, en marge de la société, et restée seule. La dépression correspond à un épuisement général : tout se passe comme si « les batteries étaient déchargées », avec le ressenti d’une fatigue quasi-constante confinant à l’épuisement, des troubles de la mémoires et de la concentration.
    A ces troubles vont se surajouter du stress avec d’éventuelles crises d’angoisse, des perturbations du sommeil qui ne feront qu’aggraver les choses… » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 19/20)

    « Enfin, contrairement aux idées reçues, ces phénomènes n’ont rien à voir avec la folie… » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann &Meynard page 20)

    2)La phase maniaque

    « L’exaltation » aiguise toutes les facultés:capacité d’analyse, de concentration, de jugement, de réalisation, d’écriture, d’élocution, d’élaboration conceptuelle, de performances sexuelles etc.)

    Le sujet perd le sommeil (absence du besoin de sommeil. Son quotidien est très rapide (double journée), il finit par se désolidariser de son environnement social. C’est à ce moment qu’apparaissent les dépenses inconsidérées, les justifications et le mensonge. Le sujet peut alors perdre pied avec la réalité (raisonnement altéré, tendances paranoïaques) et atteindre le délire (incohérences).

    « La « manie » ou accès maniaque correspond à une période d’euphorie, d’énervement, d’accélération générale physique et psychique qui dépasse largement le cadre de la normalité, et doit à ce titre être considérée comme l’autre versant de la maladie maniaco-dépressive ou trouble bi-polaire » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann&Meynard page 11).

    « Il est plus étonnant d’accepter l’idée qu’une personne excessivement joyeuse, euphorique, exubérante, riant à gorge déployée et dansant dans la rue soit dans un état de souffrance psychologique. Pourtant, les personnes qui ont souffert d’accès maniaques n’évoquent pas forcément un souvenir de bonheur, mais au contraire une impression d’être esclave de cette phase d’énervement… » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann&Meynard page 9).

    L’emballement
    « Un cercle vicieux du type « causes créant des conséquences amplifiant les causes qui leur ont donné naissance » se referme, déformé par une résonance, un emballement, faisant franchir un point de non-retour au- delà duquel la raison (et non la conscience) n’a plus ou très peu de capacité d’action et de régulation » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 80).

    L’hypomanie
    « Au cours des périodes d’excitation modérée, le malade conserve une forme inhabituelle qui lui permet de réaliser un certain nombre de ses projets sans tomber pour autant dans la manie aiguë » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 84).

    « De nombreux travaux scientifiques attestent que l’épisode maniaque survient fréquemment après un évènement déclenchant identifiable (problème professionnel, financier, juridique, difficultés conjugales, relationnelles, situation de harcèlement, surmenage, affection médicale d’un proche, agression, avortement, deuil, guerre, déménagement, date anniversaire, isolement, arrêt ou début d’une activité etc.) (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 44).

    La maladie, puis les épisodes maniaques, apparaissent généralement après un évènement traumatisant remettant en cause le système de référence souvent très élaboré du sujet.

    3) Trouble bipolaire et génétique

    « Des antécédents familiaux de ces troubles multiplient par huit ou dix le risque de déclencher une maladie maniaco-dépressive ; le risque se situe entre 1 et 2% pour l’ensemble de la population et passe à près de 10% chez les personnes prédisposées…
    Restent les 90% de chance » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 44).

    Bipolaires : de la compétences
    « En outre, étant donné que 10% environ des patients souffrant de troubles bipolaires ont des talents artistiques et des qualités de leader, un traitement clinique précis des troubles bipolaires préservera les capacités d’adaptation du patient qui pourra alors faire profiter la société de ses compétences. Cette approche clinique sophistiquée est particulièrement précieuse chez de tels sujets, car l’épanouissement du talent créatif et du succès est largement associé aux expressions atténuées de la bipolarité » (Les troubles bipolaires. Dr Kochmann&Meynard. Préface).
    Des recherches sont aujourd’hui entreprises pour isoler le gène de la bipolarité et exploiter sa potentialité à développer les capacités intellectuelles chez l’homme.

    4) les maniaco-dépressifs réussissent

    « De nombreux créateurs connaissent des variations d’humeur de cette sorte : Robert Schumann, Hector Berlioz, Hugo Wolf, Anton Bruckner, Giocchino Rossini pour ne nommer que les musiciens. » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 50).

    « Les exemples des grands créateurs maniaco-dépressifs sont nombreux et n’épargnent aucune discipline.
    Outre R.L.Stevenson et les musiciens déjà cités, on recense des écrivains et des poètes (Graham Greene, Mark Twain, William Faulkner, Ernest Hemingway, Léon Tolstoï, Virgina Woolf, Henry James, Honoré de Balzac, Francis Scott Fitzgerald, Charles Baudelaire, Victor Hugo, Gérard de Nerval etc.), des peintres (Jackson Pollock, Mark Rothko, Nicolas de Staël, Paul Gauguin, Vincent Van Gogh etc.)des cinéastes, des comédiens mais aussi des hommes d’état. En ce qui concernent ces derniers, les psychiatres français se réfèrent souvent à Winston Churchill et à Théodore Roosevelt, et les psychiatres américains à Napoléon Bonaparte ! » (Vivre avec des hauts et des bas ; Dr C.GAY et J.A Génermond. Hachette Littératures page 166).

    #115065
    Gef007
    Participant

    Je fais partie d’une association grenobloise d’aide aux bipolaires (K2, Maison des Associations 6, rue Berthe de Boissieux Grenoble)
    Après un parcours de jeunesse plutôt hypomane, j’ai fait un état maniaque très important.
    Dans les 5 ans qui ont suivi, j’ai oscillé très fortement (bipolaire 1). J’en ai profité pour perdre travail, femme, enfants et amis + une ruine financière.
    Depuis 5 ans à force d’hygiène de vie, de notes prises, de volonté, de surveillance, je suis stabilisé.
    C’est lourd et je pense que c’est le prix pour ne pas être désocialiser.

    #115067
    Gef007
    Participant

    Je fais partie d’une association grenobloise d’aide aux bipolaires (K2, Maison des Associations 6, rue Berthe de Boissieux Grenoble)
    Après un parcours de jeunesse plutôt hypomane, j’ai fait un état maniaque très important.
    Dans les 5 ans qui ont suivi, j’ai oscillé très fortement (bipolaire 1). J’en ai profité pour perdre travail, femme, enfants et amis + une ruine financière.
    Depuis 5 ans à force d’hygiène de vie, de notes prises, de volonté, de surveillance, je suis stabilisé.
    C’est lourd et je pense que c’est le prix pour ne pas être désocialiser.

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