Bonjour
je recherche quelqu’un qui pourrait m’adresser une copie de : The Lancet Neurology 1 March 2009; Volume 8
En effet dans ce document comme dans la revue BIP31.fr (http://www.chu-toulouse.fr/IMG/pdf/bip_2010_no3.pdf) , le professeur MONTASTRUC (page 2 en bas colonne gauche) indique, confirme l’AAN San Diego 2006 que les AD (agonistes dopaminergiques) sont à l’origines de troubles (hyper sexualité, jeu pathologique) chez 6 à 7% des parkinsoniens traités.
6 à 7% c’est beaucoup car ceci représente 6 à 7 pour 100
Ce qui signifie par exemple que pour GSK (qui commercialise le REQUIP) comme pour l’HAS que le risque de troubles (hyper sexualité, jeu pathologique) chez les parkinsoniens traités ne devrait pas donc pas être noté sur la notice et dans le VIDAL dans la catégorie :
– Très rares ( sur 10 000)
MAIS PLUTOT dans la catégorie :
– Fréquents surtout si ces cas ont été sous évalués comme affirmé par la neurologie (1 sur 10)
ou
– à minima Peu fréquents (1 sur 100)
D’où mes questions :
Pourquoi est ce noté ainsi sur la notice et dans le VIDAL ?
Peut-on penser que le labo considère que le ropinirole (REQUIP) est un cas à part dans sa classe ?
Merci
Didier