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- Ce sujet contient 3 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par albert boueno, le il y a 16 années et 9 mois.
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18 avril 2007 à 22h14 #38921kababParticipant
mon frere souffre du paludisme il a attrape sa a l armee il etait engage dans les para centre afrique
depuis il fait des crises
et ne peux pas se soigner car le traitement demande un suivi cardiologique
il souffre aussi d un syndrome wolf parkinson white
y a t il un traitement qui ne fatigue pas son coeur?
merci de me repondre.5 juin 2007 à 12h24 #97862arnaud85ParticipantJe viens de rentrer de côte d’ivoire ou j’ai fait une crise de paludisme la semaine avant mon retour; de plus, je suis diabétique insulinodépendant. Dois-je consulter un médecin en france alors que les symptômes se sont estompés ?
9 juin 2007 à 12h47 #98118kababParticipantoui je pense car le paludisme reste dans le corp et se manifeste periodiquement de plus le diabete ne fait pas bon menage avec les infections.
bon courage25 juin 2007 à 20h27 #99270albert bouenoParticipantExacte, bravo, le diabète fragilise l’organisme et en particulier en ce qui concerne les infections. C’est la raison pour laquelle il faut un suivi.D’autre part il est une relation entre les deux maladies en ce qui concerne hypoglycémie c’est-à-dire le risque de faire une chute de la glycémie c’est-à-dire du taux de sucre dans le sang, et le paludisme. Hypoglycémie est une complication importante est fréquent du paludisme sévère. Elle impliquait mauvais pronostic est elle est particulièrement préoccupante chez l’enfant ait la femme enceinte. L’hypoglycémie est le résultat du déficit de la gluconéeogenèse hépatique c’est-à-dire la formation du glycogène ou si vous préférez les réserves en sucre de l’organisme. L’hypoglycémie est aussi le résultat de la consommation plus important de glucose par l’hôte et par le parasite. La quinine et la quinidine qui sont souvent utilisés dans le traitement du paludisme sévère résiste d’autre part à la chloroquine, vient encore compliquer la situation car ce sont de puissants stimulants de la sécrétion pancréatique d’insuline. L’hypoglycémie hyperinsulinémique est particulièrement préoccupante chez la femme enceinte traitée par la quinine. Le diagnostic clinique d’hypoglycémie est difficile dans le paludisme sévère : le signe habituel c’est-à-dire les sueurs la chair de poule l’accélération du rythme cardiaque c’est-à-dire la tachycardie etc. sont absents et l’atteinte neurologique qui est le résultat de l’hypoglycémie ne peut pas être distinguée de celles dues au paludisme.
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