Le diamètre de l’aorte en moyenne et celui du pouce de l’individu lui-même. Bien évidemment, il n’existe pas de règle absolue. Chez une même personne vous pouvez avoir une aorte petite ou une aorte beaucoup plus grosse. Le plus souvent c’est la structure et la nature de l’aorte qui compte. Chez une personne de 82 ans celles-ci a perdu beaucoup de son élasticité c’est-à-dire qu’elle est devenue sclérosée. D’autre part de nombreux dépôts de cholestérol et d’autres substances a eu lieu à l’intérieur. C’est ceci qui fragilise les parois de l’aorte et qui favorisent la survenue de poche et des déchirures par la suite ainsi que d’anévrisme. les risques d’intervention sur une personne de cet âge-là ne sont pas inhérents à l’aorte elle-même mais plutôt à son état est à l’État cardio-respiratoire de la personne. Les antécédents surtout en ce qui concernent les anesthésies sont également importants à prendre empreinte. Il est certain que s’il existe une pathologie respiratoire cela ne va pas faciliter la prise décisionnelle d’intervenir chirurgicalement.